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Archives de catégorie : Vieux trucs de jardinier

Le tabac jaune du Québec

22 mercredi Nov 2017

Posted by Michel in Outils de références, Vieux trucs de jardinier

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Le tabac se cultive depuis des temps immémoriaux même ici au Québec. Aux temps où la culture amérindienne dominait, les hommes s’occupaient de cette plante sacrée comme nourriture de l’esprit comparativement aux femmes qui elles, plantaient et récoltaient la nourriture du corps. Il en existait de très anciennes variétés locales maintenant disparues. Vers la fin du 18e siècle, le gouvernement voyant une possible source de revenu pour les agriculteurs canadiens, aida l’industrie à identifier et sélectionner des cultivars répondant mieux aux contraintes climatiques nordiques.

Marché Bonsecours 19XX (image: collection Michel Bazinet)

Aux 18e et 19e siècle, les meilleurs tabacs poussaient dans les Antilles Françaises, les Caraïbes et aux États-Unis (Virginie, Caroline du Nord, Dakota, etc.) où l’histoire nous ramène jusqu’à la période esclavagiste de nos voisins du sud. Pour rivaliser avec ces régions reconnues depuis longtemps, l’industrie du Haut et du Bas Canada se devait d’améliorer la constance et la qualité de sa production. Au fil des décennies, la région de Joliette devint une plaque tournante notamment avec son « tabac jaune ». Cette appellation faisant référence aux feuilles qui, une fois séchées, devenaient totalement jaunes. Il s’agissait principalement de la variété appelée « Virginie » destinée au tabac à cigarette.

Culture de plants de tabac, Saint-Casimir, Québec, 1916 (?) (source: Musée McCord)

De fait, il existait une foule d’autres cultivars pour l’isage de la pipe, à chiquer ou pour le cigare. Nous avons pu retracer une vidéo détaillée de 1951 (photos à l’appui) tirée d’un documentaire de l’Office provinciale de publicité Ciné-Photo Québec concernant la manière dont on le cultivait dans ces années. Pour des raisons historiques et aussi parce que nous recevons de nombreuses questions concernant la culture de cette plante, nous avons cru pertinent vous en faire la description. Évidemment, ces étapes concernent une pratique commerciale à grande échelle. Vous pouvez vous en inspirer pour votre production domestique.

Stérilisation du sol par vapeur (1951)

Gardez en mémoire qu’on remonte 65 ans en arrière. Certaines techniques n’ont plus cours ou méritent qu’on les remplacent par des moyens plus écologiques. Ces notes se veulent avant tout une retranscription historique.

Pour commencer, dans une serre préparée à cet effet, le sol est stérilisé à la vapeur pour détruire tous les germes et les maladies avant de faire les semis directs. Les semences sont déposées directement sur le sol préparé car elles ont besoin de lumière pour germer et d’une température d’au moins 20 degrés Celsius. Vers le 24 mai, c’est le début officielle de la plantation au champ. Seuls les plants les plus robustes et de hauteur égale sont choisis pour assurer une plantation uniforme. Ils sont ensuite transportés sous un abris pour l’acclimatation. Cette étape se surnomme « l’attaque ».

Sélection des plants uniformes (1951)

Plantation du tabac (1951)

Par la suite, les transplants sont déposés dans des sillons espacés de 22 à 24 pouces en ayant soin d’inclure une tasse d’eau pour chaque plantule. À l’époque, à la brunante, on répandait du  » son empoisonné » pour tuer le vers gris. Cet insecte nocturne attaque le collet de la plante pour le dévorer en coupant la tige net. Cette bestiole se repose durant la journée dans le sable chaud pour s’enfoncer vers la mi-juin dans le sol pour se transformer en pupe durant 3 semaines et devenir un papillon appelé  » fil de fer ». Il existe évidemment aujourd’hui des moyens naturels pour s’y attaquer.

Sarclage du tabac (1951)

Il est donc nécessaire de repiquer de nouveaux plants au fur et à mesure de leur destruction. Il faut sarcler le plus tôt possible pour réchauffer la terre et stimuler la croissance des plants (sur le rang et entre les rangs). Vers la mi-juillet, les plants devenus trop haut, le sarclage se fait à la main. La mosaïque, une autre maladie du tabac, peut être contrôlée par la rotation des cultures. Le ver à tabac, à l’époque, se voyait détruit par l’arrosage de DDT. Il existe aujourd’hui, d’autres méthodes naturelles pour y remédier. Cet arrosage se faisait de manière hebdomadaire.

Écimage du tabac (1951)

À la fin de juillet, c’est l’apparition des boutons floraux. Voici venu le temps de l’écimage. L’écimage permet de transmettre la sève au feuillage. On le fait à la main. L’œil rapide décide où doit être cassé la tige selon la force et la forme du plant. Ça permettra au feuillage de grandir. La récolte débute au début août et dure 6 semaines. Comme les feuilles mûrissent à mesure qu’elles poussent, le cassage commence au pied de la tige. Vers le même temps, se fait l’ébrageonnage. Après l’écimage, des drageons ou rejets se forment au détriment du feuillage. En les enlevant, on augmente la qualité des feuilles et leur maturité. Le deuxième cassage des feuilles se fait 8 jours après le premier en enlevant 2 à 3 feuilles au plant. Mais l’important étant de les choisir de manière uniforme.

1er cassage des feuilles de tabac (1951)

Ébrageonnage des rejets (1951)

Attachage des feuilles de tabac (1951)

D’autre part, près des séchoirs, ce sont les « attacheuses » qui s’appliquent à attacher les feuilles par groupe et les déposer sur les supports. Pour obtenir des feuilles épaisses et bien mûres, le type de sol, la date du semis et la manière de cultiver sont autant de facteurs permettant d’augmenter ou de diminuer la qualité du tabac. Après 4 ou 5 cueillettes, c’est le dernier cassage. Il ne reste que quelques feuilles sur le dessus du plant. Les feuilles sont rangées sur des supports pour le séchage. Seul quelqu’un de très expérimenté peut parvenir à trouver le séchage adéquat. 2 fourneaux au bois ou à l’huile réchauffent les tuyaux à la base du séchoir qui va répandre une chaleur égale à travers les lattes. Lors des 4 à 5 jours de séchage, la température devra être surveillée jour et nuit. Une fois séchée, on étend le tabac. Les feuilles doivent être assez souples pour être entreposées.

Entrée du tabac au séchoir (1951)

Enfouissement des tiges de tabac (1951)

Par ailleurs, il est important de couper les tiges du tabac restées au champ pour les réintroduire dans le sol afin d’y retourner de la matière organique. Semer du seigle tout de suite après cette étape car il aura le temps de pousser jusqu’à l’automne et de se récolter en juillet de l’année suivante. On parcellait ainsi le terrains pour abriter des vents le tabac que le producteur revendait si le prix était bon. Mais la majorité préférait enfouir le seigle à la herse pour ajouter de la matière organique  donnant de la consistance aux terres légères. Cela produira des pousses vigoureuses qui protégera aussi le sol jusqu’au printemps prochain; l’important étant de ne pas laissez le sol dénudé. On y ajoutera 4 à 5 tonnes de fumier à l’argent.

Triage manuelle des feuilles de tabac (1951)

Les brises-vents naturels (épinettes ou pins) complète cet attirail pour aider les terres sablonneuses à reprendre du tonus. Sur la ferme, en octobre, on s’occupe de l’expédition. Les feuilles sont assouplies à là vapeurs. Elles sont triées à savoir, les feuilles trop sèches, brûlées, mortes et surtout celles de qualité. Cette étape se fait par le responsable selon la texture, l’élasticité et les nervures fines. Les balles de 50 à 60 livres chacune portent le sceau du producteur et le numéro de la cueillette.

Finalement, elles étaient envoyées à Joliette à la coopérative de tabac Laurentien pour être classé par des « classeuses ». Il est à noter qu’en 2012, la culture du tabac jaune cessa définitivement au Québec.

Traitement et classage des feuilles de tabac (1951)

Champs intercalés de tabac de seigle (1951)

Saviez-vous que? Le 4 juillet 1931, L’action populaire publiait une note intéressante. Le docteur Lionel Stevenson, auteur du bulletin fédéral « Parasites, animaux qui nuisent aux moutons dans l’est du Canada » suggérait aux éleveurs de leur faire manger du tabac. Dans le but de réduire les malaises intestinaux causés par ces bestioles, il proposait de mélanger une proportion de dix livres de sel pour une livre de feuilles de tabac broyées. En faisant sécher les feuilles de manière qu’elles puissent être broyées en petits morceaux, d’une grosseur comparable à celle du son de blé, la poudre mélangée au sel va former un genre de gâteau que les animaux pourront lécher. Évidemment, pour la première fois, habituer les animaux avec de plus petites quantités deux semaines au préalable. 

Champ de tabac, ferme d’Harmegnie, Chambord, Lac-Saint-Jean (Québec) vers 1906 (source: Musée McCord)

Secrets pour réussir ses plants de tomates

30 jeudi Avr 2015

Posted by Michel in Vieux trucs de jardinier

≈ 16 commentaires

Si vous plantez des tomates cette année, le meilleur moment pour effectuer vos semis intérieurs devrait être vers la fin mars ou début avril et ce, si vous compter les repiquer au jardin vers le 15 mai (zone 5). Mais encore là, ça dépend du nombre de jours de maturité de votre variété. Plus elle produira rapidement, plus tardifs seront les semis. Plantez-les donc le plus tard possible. Et ce n’est pas moi qui le dit, c’est le réputé agronome Roger Doucet. En suivant le lien proposé, vous comprendrez pourquoi cet homme est si significatif.

Tomates Petit moineau

Tomates Petit moineau

En fait, nous aurions bien aimé parler directement avec le principal intéressé mais ce dernier n’accorde plus d’entrevue. Et nous respectons sa décision.

Toutefois, nous pouvons nous fier sur divers écrits (anciens et récents) pour nous guider et avons cru pertinent vous donner « LA » recette des experts, avec un peu de notre cru et de la sagesse de nos aïeux.

Premièrement, faites votre propre composé de terre à semis soit: une partie de compost (ex: crevette), une partie de mousse de tourbe et une partie de vermiculite. On tient cette recette de Monsieur Yves Gagnon des Jardins du Grand Portage lors d’une de ses conférences il y a 15 ans à Sorel. Bien humecter. N’utilisez en aucun cas les pastilles de tourbe compressées vendues en magasin. Pourquoi? Les petites racines ont trop de difficulté à traverser la couche de terre et ça nuit à leur croissance. La germination exigera deux choses: chaleur et humidité. Installez vos semis recouverts d’une pellicule plastique (ex: Saran wrap) ou d’un couvercle transparent au dessus d’une source de chaleur (ex: calorifère) pour créer un effet de serre. Une graine devrait germer habituellement entre 5 et 10 jours. Dès l’apparition des premiers germes, enlevez le plastique pour éviter le surplus d’humidité et l’apparition de maladies comme la fonte des semis.

Pour notre part, on les installe sous les fluorescents à large spectre qu’on retrouve chez presque tous les quincaillers (ex: Gro-lux) favorisant la croissance des plantes. Avec une minuterie programmable, vous n’aurez plus peur d’oublier d’allumer ou d’éteindre et vos plants se gorgeront des 14 heures d’ensoleillement nécessaires. Juste besoin d’arroser. Pour ceux ne pouvant se permettre un telle installation, les rebords de fenêtres les plus ensoleillés feront l’affaire. Nos arrières grands-parents se sont accommodés pendant des décennies de ce genre d’installation… Pourquoi pas nous?

Tomates Plourde

Tomates Plourde

Deuxièmement, faites votre second terreau de croissance selon la recette suivante: Deux partie de compost pour une partie de vermiculite et une partie de mousse de tourbe; une autre recette de Monsieur Gagnon. On garde nos classiques. Encore bien humecter. Transplanter vos jeunes plants ayant déjà 1 ou 2 vraies feuilles dans des pots individuels (entre 8 et 10 centimètres de côté). Il sera important d’enfouir la tige au moins à la moitié du plant.

En effet, la tomate à la particularité de développer des racines tout le long de sa tige si celle-ci est enterrée. Ça donne davantage de force au plant. Et par la suite, c’est là le réel secret: la température.

De fait, Monsieur Doucet suggère une température idéale de 15 degrés durant la journée et de 10 degrés la nuit. Il estime même qu’arrivé à une grosseur de la taille d’un crayon (entre 5 et 6 semaines après la levées des semis) et ce, pour renforcer encore davantage le plant de tomate on peut abaisser jusqu’à 2 degrés. BRRRR! Le résultat devrait engendrer un feuillage plus vert, des plants plus trapus et des feuilles plus grandes.

Troisièmement, la dernière semaine avant de repiquer en terre, on stoppe le chauffage et l’arrosage. Ça oblige la plante à développer encore davantage sa résistance. Pauvre elle! On s’acharne.

Tomate Quebec #13

Tomate Quebec #13

Par contre, si vous voyez votre plante dépérir, n’attendez pas et arrosez-là. Quand même, on est pas fou à ce point-là.

Quatrièmement, au moment de la transplantation au potager (par temps nuageux SVP), faite un bon trou. Mettez-y deux bonnes pelletées de raisins secs…. oup! Pardon!… de compost au fond de la fosse et arrosez jusqu’au moment ou l’eau ne s’absorbe plus. En sortant le plant du pot, enfouissez encore une fois la moitié de la tige dans la terre. Au pire, si elle est trop longue, couchez la tige. Ça stimulera encore davantage la formation de racines secondaires. Et plus de racines veut dire plus d’éléments nutritifs… Qui veut dire plus de résistance aux maladies… Qui veut dire de meilleurs fruits… Qui veut dire que c’est bon pour vous. Je crois que vous comprenez le principe. Après, stopper l’arrosage pendant 3 à 4 jours.

Plant de tomate Ledoux spécial

Plant de tomate Ledoux spécial

De notre côté, parce qu’on habite une région venteuse, on place sur le jeune plant un seau dans lequel on aura enlevé le fond. Nos « vieux » voisins quant à eux récupèrent des grosses boîtes de conserves l’hiver (ex: tomates broyées ou en morceaux) et leur enlèvent les deux extrémités et font la même chose. On installe deux piquets pour stabiliser le tout pour environs 3 semaines, soit le temps nécessaire pour que le plant s’enracine comme il faut.

Finalement, on enlève le seau, on garde un tuteur et paillons la base. La paille aura l’avantage de diminuer l’évaporation de l’eau, amoindrir l’impact de la pluie sur la terre lors de fortes pluies, freiner la mauvaise herbe et limiter le contact du fruit avec le sol s’il tombait; augmentant sa durée avant qu’il pourrisse.

Plantation de tomates au printemps (date et auteur inconnus)

Plantation autrefois de tomates au printemps (date et auteur inconnus)

Il est intéressant de noter que Monsieur Doucet observe qu’un plant devrait être exposé au plein soleil mais qu’une tomate, pour qu’elle soit plus goûteuse aurait avantage à pousser à l’ombre du feuillage. Cela aurait même l’effet de produire des semences ayant un taux de germination augmentée. Y’a pas à dire, c’est toute qu’une science la production de tomates. Vive l’expérience de nos ancêtres.

VOUS AVEZ VOUS AUSSI DES TRUCS DE GRAND-MÈRE SUR LA PLANTATION DES TOMATES, ON VOUS ENCOURAGE À LES ECRIRE DANS LA SECTION COMMENTAIRE DE CET ARTICLE. MERCI DE LES PARTAGER AVEC D’AUTRES PASSIONNÉS !

Vieux trucs de jardinier (1): Des carottes qui germent plus vite

03 vendredi Fév 2012

Posted by Michel in Vieux trucs de jardinier

≈ 7 commentaires

Levée de carottes (source:www.fairesonjardin.fr)

En scrutant d’anciens livres et en parlant avec des jardiniers séniors, il nous arrive de temps à autre de dénicher d’anciens conseils ou de recevoir des confidences sur toutes sortes de trucs pour accroître ses bons résultats au potager. L’expérience passée a tendance à se perdre et nous fait commettre les mêmes erreurs que nos ancêtres. C’est pourquoi, il nous est apparu important de remettre en lumière ces anciennes méthodes afin que ce savoir demeure vivant dans nos mémoires.

Dans les mois à venir, nous vous en citerons plusieurs glanés ça et là au fil des rencontres et des découvertes. Nous les incorporerons dans un nouvelle catégorie intitulée: Vieux trucs de jardinier. Profitez-en!

Pour débuter, nous avons  tiré du livre de 1885, Le verger, le potager et le parterre au Québec, une citation de son auteur l’Abbé L. Provancher sur la manière dont il donnait du pep à la germination de ses carottes.

En effet, à l’époque il estimait entre 20 et 25 jours le délai requis avant les premières pousses. Aujourd’hui, de nombreux anciens cultivars « plus récents » produisent plus rapidement mais la technique vaut encore la peine de s’y arrêter. Il faut dire aussi qu’à l’époque, il était courant de lancer les graines à la volée et qu’il était facile de perdre les pousses parmis les mauvaises herbes. Pour diminuer la période de germination, il suggère::

Pour hâter sa levée, on la (en parlant de la graine) fait tremper dans de l’eau tiède et on la roule ensuite dans du plâtre ou de la cendre; de cette manière elle pourra se monter avant que les mauvaises herbes prennent le dessus sur elle.

Cependant, l’histoire ne nous dit pas de combien de temps cette manière de faire accélère le processus de germination. Faites-le nous savoir.

Vous possédez, vous aussi d’anciens trucs et souhaitez les partagez, n’hésitez pas à nous les écrire via vos commentaires. Et merci d’avance aux noms des lecteurs. Bonne fin de semaine!

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