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Potagers d'antan

~ – Découvrez les fruits et légumes rares du Québec –

Potagers d'antan

Archives de catégorie : Agrotourisme patrimonial

La maison de la prune

30 lundi Mai 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial, Personnages liés à l'agriculture au Québec

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Paul-Louis Martin devant la maison de la prune (image: Marc Larouche, Le Soleil, 9 novembre 2006)

En 1974, Paul-Louis Martin, peu après son diplôme universitaire en archivistique et en ethnographie, achète le domaine de Sifroy-Guéret dit Dumont situé à Saint-André-de-Kamouraska. Il était probablement loin de se douter l’importance qu’il aurait dans sa vie future.

En effet, près d’une centaine de pruniers de Damas, encore en bonne santé, poussaient dans un verger abandonné. Après avoir goûté et pris conscience de l’histoire de cette prune dans l’alimentation humaine au cours des millénaires, lui, sa femme et ses 3 enfants ont décidé de restaurer l’ancienne maison et la pruneraie en 1978.

En fait, les pruniers de Damas (pourpres et jaunes) ont été apportés par Champlain qui les sema un peu partout sur les bords du Saint-Laurent jusqu’à la Malbaie, incluant l’Île-aux-Coudres.  Outre cette variété, il n’était pas rare de tretrouver aussi la Mirabelle et la Reine-Claude.

Au début du XXe siècle, la région de Kamouraska expédiait par goélette les petites prunes du Bas-du-Fleuve vers les marchés de la grande ville. Selon Paul-Louis Martin, on recensait en 1901 pas moins de 218 000 pruniers dans l’est du Québec, contre seulement 2000 dans la région de Kamouraska en 1983.

Ainsi, 15 ans après le début de sa restauration, soit en 1993, la famille De Blois-Martin ouvrit la maison de la prune où des centaines de visiteurs viennent chaque année y goûter (fraiche ou transformée) les produits associés à cette prune.  Aujourd’hui, c’est plus de 1500 pruniers que vous pourrez contempler entre le début août et la mi-octobre, soit davantage de pruniers qu’aux moments de ses belles années d’antan. 

D’ailleurs, peu de vagues ont été faites sur ses différentes distinctions, notamment le prix « Gérard-Morisset » décerné en décembre 2006 par le Gouvernement du Québec, soit la plus haute distinction dans le domaine du patrimoine.

Car Monsieur Martin n’est pas seulement arboriculteur dans l’âme, il est aussi chargé de cours en histoire à l’université du Québec à Trois-Rivière et l’auteur d’ouvrages tels: Histoire de la chasse au Québec (Boréal, 1980) Promenade dans les jardins anciens du Québec (Boréal, 1996), À la façon du temps présent, trois siècles d’architecture au Québec (Presse de l’Université Laval, 1999), et Les fruits du Québec, histoires et traditions des douceurs de la table (Septentrion, 2002) Voir article du 12 janvier 2011.

Si vous passez dans le coin, la maison de la prune est située au 129, Route 132 Est à Saint-André-de-Kamouraska. Vous pouvez aussi les rejoindre au 418-493-2616. À notre connaissance, les propriétaires ne possèdent aucun site Internet.
 

Saviez-vous que:
En 1840, un commerçant et notable de la région, Sifroy Guéret dit Dumont, acquiert une propriété de 150 acres, dont trois arpents faisaient front sur le fleuve. Il fait construire une imposante résidence de 24 pièces, constituée de bois de cèdre et de pin, sise sur un sous-bassement de maçonnerie. L’emplacement est judicieusement choisi, protégé par des collines et un microclimat accentué par le fleuve permettra à Sifroy Guéret de planter 1000 pruniers, dont la fameuse prune de Damas.

Le Verger Pednault, dernier de l’Île-aux-coudres

13 vendredi Mai 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial

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Francis Pedneault

C’est le grand-père, Francis Pedneault, agronome dans l’âme, qui décida en 1918 de planter les premiers arbres fruitiers à travers les champs de pommes de terre, une culture très particulière aux pratiques de l’époque.

Tout est parti:

Premiers pommiers en 1918

grâce à un octroi gouvernemental, 300 pommiers achetés à Rougemont sont plantés sur la terre ancestrale à titre expérimental. On y retrouve alors les variétés Wealthy, Greening, Baldwin, Fameuse, Duchesse, Transparente, Alexandre et McIntosh.

Pour se perfectionner, Michel Pedneault, le fondateur de l’entreprise et 8e descendant d’une lignée d’agriculteurs, apprend à Sainte-Anne-de-la-Pocatière, la greffe et la reproduction des pommiers. Il pourra, dès lors vendre ses premiers arbres fruitiers (pruniers, cerisiers et pommiers) entre autres, à Saint-Joseph-de-la-Rive, à Petite-Rivière-Saint-François ainsi qu’aux autres villages environnants.

Toutefois, 78 ans plus tard, en 1996, l’agrotourisme a été la solution pour sauver de la disparition le verger Pednault , dernier de l’Île-aux-coudres qui de part sa localisation géographique bénificie d’un micro-climat.

Michel Pedneault, fondateur

En effet, miser sur la préparation de produits cuisinés et dérivés, le tourisme, la production de cidre en plus de la vente de pommes fraîches, a permis à cette entreprise de transformer une perte annuelle de 5000$ à 10 000$ en une entreprise rentable et dynamique.

Aujourd’hui, c’est 3000 pommiers sur 14 hectares qui y sont cultivés et le verger continue de repousser les limites des terres en friche. Vous pouvez consulter un beau reportage de Radio-Canada (la semaine verte du 30 octobre 2010 – 4e segment) sur l’historique de l’entreprise et l’utilisation de variétés de pommes anciennes dans la production de leurs produits artisanaux.

Bonne fin de semaine!

Le Manoir Mauvide-Genest

11 lundi Avr 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial

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Manoir Mauvide Genest (image: http://www.manoirmauvidegenest.com)

Lorsque ma conjointe et moi avons fait une visite à l’Île d’Orléans en 2009, nous étions passé devant cet édifice, le Manoir Mauvide-Genest, à côté duquel des travaux avaient vraisemblablement été entrepris pour concevoir un potager. Sans clôture,, ni délimitation, il en était à ses premiers balbutiements. Nous ne nous étions pas trop attardés car les lieux étaient fermés.

Potager du manoir Mauvide-Genest (image: http://www.manoirmauvidegenest.com)

Par contre, nous avions été charmé par l’architecture à deux pas du chemin, la vue sur le fleuve et le bucolisme des environs. Nous étions à des lieux de nous douter que cet endroit, érigé en 1734, demeurait l’une des rares maisons encore sur pied de l’époque seigneuriale aux temps de la Nouvelle-France. Du nom du premier couple ayant construit la maison, Jean Mauvide et Marie-Anne Genest, le premier était chirurgien de l’armée du roi et sa conjointe, fille d’un forgeron prospère. Y’a pas à dire, les 4 étages et les 7500 pieds carrés habitables font encore aujourd’hui l’envie de bien des gens et nous met devant une évidence: être médecin et riche, même en Nouvelle-France,  c’est une combinaison gagnante pour un succès matériel… encore aujourd’uui.

Évidemment, comme toute résidence du début de la colonie, le potager est un incontournable et celui-ci a pris du galon. Reste à savoir si le réalisme du potager va aussi loin que les variétés qui y étaient cultivées à l’époque.

Le maïs de Neuville

17 jeudi Mar 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial

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Denis Gaudreau, de la ferme Degau avec le maïs de Neuville (image tirée du journal "Le Soleil" 27 juillet 2010)

Neuville, une petite municipalité du Québec d’un peu plus 3700 habitants possède une caractéristique bien spéciale… son maîs.

De fait, il a si bonne réputation et se cultive depuis si longtemps qu’une association de 20 producteurs s’est créée en 1997 pour protéger la renommée de ce produit du terroir.  

On explique ses qualités à 3 facteurs importants:

  • La richesse particulière du sol, propice aux cultures maraîchères.
  • Un microclimat (terres en pente vers le fleuve, contenu de la terre en pierres qui emmagasinent la chaleur du soleil), permettant des mises en culture au moins une semaine avant la moyenne des fermes de la région.
  • Un savoir-faire et une expérience des générations successives de producteurs, et ce depuis 1668 …

Le maïs de Neuville n’est pas une variété en soi car près de 20 cultivars différents y sont cultivées. C’est un peu comme une marque d’appellation contrôlée, une preuve de la qualité d’un produit. C’est une belle preuve qu’une petite région peut rayonner et tirer son épingle du jeu en exploitamt un légume intégré à son environnement au point où il est devenu une carte de visite pour les touristes et une source économique viable.

Les serres des plaines d’Abraham

16 mercredi Mar 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial, Événements et perfectionnement

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Les serres des plaines d’Abraham (source: Commission des champs de bataille nationaux)Les serres des plaines d’Abraham sont les plus anciennes encore actives au Québec et ce, depuis 1916.  Conçues selon les plans de l’architecte paysagiste Frederick G. Todd, c’est à l’intérieur de ces bâtiments que sont cultivés quelques 50 000 plants qui embelliront les aménagements floraux du parc pendant la période estivale. Vous avez la chance de les visiter une fois par année lors des portes ouvertes qui ont lieu d’habitude lors de la Grande fête de la nature, en mai  de 11h00 à 16h30. Dirigez-vous aux coins des rues Briand et De Bernières (à l’est du Musée national des beaux-arts du Québec). Pour information 418-649-6157. Profitez-en pour poser des questions comme:

Frederick G. Todd, architecte paysagiste (source: Musée McCord)

  1. Pour quelles raisons peignez-vous les vitres de la serre?
  2. Qu’est-ce qu’une couche chaude?
  3. Quand commence le travail en serre?
Des horticulteurs chevronnés de la Commission des champs de batailles nationaux se feront un plaisir de réponse à  toutes vos questions.
 
En plus, pour les premiers visiteurs, ils offrent souvent des cadeaux (habituellement des plantes). Profitez-en, c’est gratuit!

Carte postale de mars 2011

14 lundi Mar 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial, Carte postale du mois

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En ce début des « cabanes à sucres », nous avons songé faire une petite incursion dans le monde acéricole le temps d’une carte postale.

En 1850, une grande partie de la population des campagnes habitent sur la ferme. Les familles produisent une large portion de leur subsistance (viande, légumes, fruits, céréales…), incluant leur sucre; le sucre du pays.

En effet, les familles possèdent bien souvent des terres à bois qu’elles utilisent pour récolter leur bois de chauffage. Au début mars, le cultivateur doit absolument avoir terminé de fendre son bois pour le prochain hiver pour la maison et l’érablière car aussitôt, le temps des sucres lui succède. Et tout se faisait à la main (souvent jour et nuit). Et plusieurs qui en produisent vous le diront, quand ça coule, c’est « non-stop ».

À cette époque, ils n’importent aucun sucre des Antilles. Le lait caillé avec du sucre d’érable ou de la mélasse est l’un des desserts les plus fréquents.

Aujourd’hui, selon la Fédération des producteurs acéricoles du Québec, ce secteur génère plus de 10 500 emplois à temps plein (production et transformation inclus). L’impact économique se situe à  610 millions de dollars et il compte 13 500 producteurs répartis sur 7400 fermes acéricoles. Les choses ont bien changé depuis l’époque où les amérindiens récoltaient leur eau d’érable avec des bouts de bois.  

Justement, ce type d’expérience vous intéresse. Allez à la maison amérindienne de Mont-Saint-Hilaire. En mars et avril, vous pourrez déguster un repas du temps des sucres typique du temps des premiers habitants du continent nord-Américain (banique, potage de légumes cultivés par les premières nations, salade iroquoise, haut de cuisse de poulet dans le sirop d’hérable et herbes sauvage, tarte au sucre atikamekw et tisane autochtone). Miam! Miam!

Un vrai potager de la Nouvelle-France

24 jeudi Fév 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial, Types de jardins-potagers

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Potager de la Nouvelle-France

Lors des festivités du 400e de Québec, une petite initiative est presque passée sous silence en 2008.

En effet, un potager très particulier a été érigé sur les plaines d’Abraham sous l’aspect de ceux qu’on retrouvait à  l’époque de la Nouvelle-France. Madame Louise  Saint-Pierre, ethnologue,  en a été la conceptrice. Ayant été propriétaire d’une entreprise nommée le potager de la Nouvelle-France pendant de nombreuses années, ce n’est sûrement pas une coïncidence si c’est à elle qu’on s’est adressé pour cette tâche. Possédant une maîtrise en études médiévales jumelée à des études collégiales en agriculture, elle s’intéresse tout particulièrement à l’histoire horticole.  Elle possède une vaste collection d’anciens cultivars qu’on pouvait planter aux premiers temps de la colonie.

De fait, Madame Saint-Pierre voulait  l’œuvre la plus représentative possible en fonction des documents d’archives qu’elle avait consultés.

Reproduction de l'intérieur d'un jardin de la Nouvelle-France

Pour l’occasion, l’équipe de l’émission « la semaine verte » a réalisé le 24 mai 2009 un reportage (voir ici-bas) sur les débuts du projet jusqu’à sa réalisation complète. N’ayant pu le visiter lors de sa construction, nous nous y sommes rendus l’année suivante pour nous en inspirer. Car, l’un de nos souhaits serait qu’un jour, nous aussi puissions en ériger un pour ajouter à notre collection. Pour quelles raisons croyez vous que POTAGERS D’ANTAN prend un « S ».

En attendant de contempler le nôtre, vous pourrez voir celui-ci le long du sentier piétonnier menant au kiosque Edwin-Bélanger .

Le jardin de curé

21 lundi Fév 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial, Types de jardins-potagers

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Jardin de curé à Shawinigan (image: http://www.eglisendp.qc.ca)

D’une époque remontant à la révolution française, le jardin de curé assurait traditionnellement la subsistance du curé mais aussi pouvait subvenir à nourrir les paroissiens dans le besoin. 

Pour être considéré un « vrai » jardin de curé, il doit possèder 7 éléments essentiels:

  • Des fruits et légumes
  • Des fleurs qui serviront à la décoration de l’église
  • Du buis symbolisant l’éternité
  • Une source d’eau pour désaltérer les oiseaux
  • De la vigne pour le vin de messe
  • Des herbes aromatiques
  • Et évidemment, une statue de la vierge Marie.

 Si vous visitez un tel jardin sous cette appellation, vous pourrez affirmer si c’est un authentique en vous basant sur cette énumération.

Vous souhaitez justement en contempler quelques-uns, rendez-vous aux endroits suivants, c’est habituellement gratuit!

  1. Église Notre-Dame de la Présentation (Shawinigan-Sud)
  2. Église de Saint-Venant-de-Pâquette
  3. Patro Le Prévost, centre communautaire et de loisirs à Montréal
  4. Église de Sainte-Marguerite-d’Youville

Si vous connaissez d’autres lieux, faites-nous en part, nous les ajouterons à cette liste.

Le jardin du Gouverneur

14 lundi Fév 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial

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Château de Ramezay au début du siècle dernier

L’émission de télévision le « tour du jardin« , offert via le canal Historia, a visité, au coeur du Vieux-Montréal, le Château Ramezay, le plus ancien jardin d’Amérique… c’est pas rien.  Pas juste un jardin de fleurs, l’édifice de 1705 érigé par le gouverneur de l’époque Claude de Ramezay, abrite aussi un magnifique potager où vous retrouvez un endroit riche de trésors historiques horticoles.  Si vous avez manquez cette diffusion, n’hésitez pas à y faire un tour cet été, vous pourrez alors bénéficier de visites guidées au coût de $22 pour les familles, $10 pour les adultes, $8 pour les aînés, $7 étudiants, $5 entre 5 et 17 ans et gratuit pour les 4 ans et moins.

Il arrive à l’occasion que l’épisode soit diffusé en webtélé.

Le Jardin des Premières Nations

11 jeudi Nov 2010

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial, Types de jardins-potagers

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Jardin des Premières Nations / Jardin Botanique de Montréal

Pour rendre hommage au peuple autochtone, il existe une section au jardin botanique de Montréal appelé le « jardin des premières nations« .  J’avoue qu’il est un peu tard pour y aller cette année mais vous pouvez déjà planifier une visite l’an prochain. Cette reconstitution vous dévoilera les espèces indigènes entrant dans l’alimentation et la médecine de ce peuple mais aussi aux techniques de culture.

Il est très important de souligner que la conception de cette section l’a été dans la philosophie de ces peuples, c’est-à-dire ne pas dépouiller un endroit pour en vêtir un autre.  

En effet, il devenait indécent de saccager un secteur d’une forêt pour y cueillir des plantes, souvent menacées, pour ensuite les amener au jardin. C’était tout à fait contraire au respect de la nature. Pour résoudre ce problème, ils ont décidé de récolter les végétaux sur les sites voués à la destruction par la construction domiciliaire. Ce fût en soi tout un défi.   

Steve McComber

En ce qui a trait aux légumes, ils ont fait appel à Steve McComber. Renommé à travers la confédératoon Haudenosaunee, il cultive depuis 35 ans maintes variétés traditionnelles de maïs, courges et haricots.  Très peu connu au Québec francophone, ce Mohawk de Kahnawake a fait des présentations sur le sujet à la télévision, radio, fait des conférences au Canada et aux États-Unis.  Ça, le site Internet du jardin botanique ne vous le dit pas.

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