• À propos…
  • Pour commander (arrêt définitif des activités)

Potagers d'antan

~ – Découvrez les fruits et légumes rares du Québec –

Potagers d'antan

Archives de catégorie : Biodiversité

Créer votre jardin autofertile

08 mercredi Juin 2011

Posted by Michel in Biodiversité, Types de jardins-potagers

≈ 2 commentaires

Étape 1: Faites un plan.

Saviez-vous qu’il serait possible d’avoir un potager presque sans entretien? Qu’il n’y aurait aucun arrosage manuel, fertilisation chimique ou crainte de voir tous ses fruits ou légumes dévorés par les hordes d’insectes ou détruits par une quelconque maladie ou champignon.

Étape 2: Délimitez le terrain

En effet, le potager deviendrait un organisme vivant en soi, se régulant seul tout en augmentant sa productivité de manière naturelle. Avec quelques concepts de base empruntés à la permaculture, notamment la proximité d’une source d’eau et une construction de départ appropriée, la production de fruits et de légumes deviendrait une tâche ultra simplifiée.

Étape 3: Buttez en creusant vos sentiers

Avec la collaboration de Madame Suzanne Gendreault, celle-ci m’a remise quelques photographies (explications à l’appui) suite à sa formation sur lesquelles on peut visualiser la mise sur pied d’un jardin autofertile respectueux de l’environnement mais aussi destiné aux jardiniers écologiques. La plus grande dépense d’énergie, ce sont les premières étapes.

Étaoe 4: Creuser le tour du jardin

Par la suite, il y aura une période d’adaptation mais le potager devrait se régir de lui-même et s’autoréguler. 

Par exemple, comme un organisme vivant cherchant à combattre une maladie, une invasion de pucerons encliencherait un mécanisme de défense en amenant un prédateur au jardin. Sachant qu’il y trouverait de la nourriture, il s’y installerait et avec le temps, l’invasion serait contrôlée.

Étape 5: Aplanissez vos buttes

Pour cela, vous devez faire amende honorable et vivre avec un nombre de pertes minimes puisqu’on vise l’harmonie au potager sans utilisation de pesticides ou d’herbicides.

Mais encore là, une laitue se sentant attaquée, aurait le réflexe de produire davantage de feuilles, augmentant du même coup sa production. L’insecte nuisible (on ne parle pas d’infestation) deviendrait à son tour source de production par le réflexe de survie de la plante. Vos plantes s’en trouverait stimulées.

Étape 6: Enlevez vos démarquations

Mais il n’y a pas juste ça, l’augmentation de votre productivité tient aussi aux buttes. Ainsi, au lieu de planter seulement à  l’horizontal, vous pouvez aussi semer sur les pentes. Certaines études montrent qu’en utilisant cette méthodes vous pouvez tripler votre production avec le même espace.  Il n’y a pas de limites géographiques à la mise sur pied de votre jardin, il pourra être petit ou énorme, au Nord ou au Sud, etc.

Étape 7: Installez les tuyaux d’irrigation

Qui plus est, un autre avantage non négligeable est l’absence de labour.

En effet, en évitant le « brassage » de la terre, vous contribuez à protéger les micro-organismes utiles à la croissance des racines des plantes. Encore une tâche de moins à faire au printemps ou à l’automne.

D’ailleurs en ayant des sentiers, cela empêche le compactage de la terre et les racines se trouvent à bénéficier d’un maximum d’aération.

Étape 8: Installez vos tige de fer pour les grimpantes

De nombreuses personnes aux prises avec des maux de dos trouveront cette solution idéale car les aliments ssont surélevés.

Nous vous proposons 12 étapes imagées pour mieux visualiser la réalisation de votre propre jardin autofertile. En gang, vous pourrez tout faire en une journée. Invitez donc quelques amis. Peut-être que ça leur donnera des idées pour leur propre potager.  

Étape 9: Paillez buttes et mettez cartons à la base

En fait, vous pouvez cliquer sur les images. J’ai cru pertinent augmenter la résolution pour que vous puissiez bien voir les détails.

Pour les personnes intéressées à approfondir le sujet, le centre nature et santé, une entreprise située dans les Laurentides, montre, photos à l’appui, une autre version de ce type de jardinage « ami de l’environnement ».

Pour d’autres, le site suivant permet d’ajouter des infos complémentaires, mesures et chiffres en prime, non mentionnées dans cet article.

Étape 10: Protégez les plantes sensibles au froid

En fait, il est intéressant de noter qu’il n’y a rien de nouveau avec cette type de culture car les amérindiens appliquaient les mêmes techniques, bien avant l’arrivée de Jacques Cartier.

En effet, selon les principes des 3 soeurs, les femmes amérindiennes cultivaient sur buttes, le maïs, la courge et le haricot. Le jardinage autofertile est donc une manière améliorée de ce mode d’agriculture.

Étape 11: Plantez vivaces et annuelles

Saviez-vous que:
Pour être capable de générer des surfaces cultivables en terrains boisés, les hommes Iroquois arrachaient l’écorce des arbres pour les dénuder à l’aide de haches en pierre. N’ayant plus aucune protection, les arbres mourraient et l’absence de feuilles créait des aires ensoleillées. Ils brûlaient les arbres morts pour éclaircir encore davantage la zone à cultiver. 

Dès lors, les femmes pouvaient creuser avec une houe en bois le sol forestier et fabriquer des buttes de terre d’un mètre de diamètre espacés les uns des autres d’un mètre.  

Étape 12: Paillez le carton

C’est sur ces buttes qu’ils y plantaient leur maïs, les courges et les haricots, une association baptisée « les trois soeurs ». À eux trois, ces aliments représentaient 70 à 80% de leurs calories consommées quotidiennement, 

Merci à Madame Suzanne Gendreault pour les photographies et les explications.

Le Centre sur la biodiversité de l’Université de Montréal

03 jeudi Fév 2011

Posted by Michel in Biodiversité

≈ Laisser un commentaire

Centre sur la biodiversité de l'Université de Montréal (image: http://www.montrealitesurbaines.com)

Ça y est… Le décompte est prévu pour le printemps 2011. Quoi? Et bien l’inauguration du Centre sur la biodiversité de l’Université de Montréal.  

En effet, les Muséums nature de Montréal seront les hôtes de nouvelles installations permanentes situées à côté du Jardin botanique de Montréal. Érigé aux coûts de plus de 16 Millions de dollars, dont une très grande partie des sommes fournies par la Fondation canadienne pour l’innovation et le gouvernement du Québec, le projet débuté en août 2009 est terminé. Ou sinon, il reste quelques détails.  

4 grands objectifs sont prévus pour cette installation:

  1. Valorisation et conservation des collections;
  2. Recherche scientifique;
  3. Transfert des connaissances et;
  4. Sensibilisation du public.

À cela s’ajoutera une base de données vituelles où vous pourrez parcourir la collection du nouveau centre et celles de 8 universités canadiennes, 8 jardins botaniques, et les catalogues des musées qui désireront y adhérer; une richesse inimaginable concernant la biodiversité canadienne.

La banane sonne l’alarme

25 mardi Jan 2011

Posted by Michel in Biodiversité

≈ Laisser un commentaire

Banane Cavendish

La banane est l’un des fruits les plus consommés au Québec. En 2009, la province en a importé 48 600 tonnes.

Toutefois, le but du propos n’est pas tant la quantité ingérée par la population mais davantage son monopole.

De fait, la variété « Cavendish » représente à elle seule 50% de toutes les bananes consommées dans le monde et sa popularité ne cesse de croître depuis 1900, année où la banane dessert a fait son apparition sur les marchés. Malgré 1200 cultivars comestibles (ça inclut le type banane plantain), elle est de loin celle qu’on importe le plus. 

Le « hic « , et bien les bananeraies sont attaquées par la maladie de Panama et rien ne semble parvenir à enrayer ce fléau.

Vous souvenez-vous de la grande famine qui obligea des milliers d’Irlandais à fuir leur pays entre 1845 et 1849?

Ce fût le résultat de 50 années d’interactions désastreuses entre la politique économique impériale britannique, des méthodes agricoles inappropriées et l’apparition du mildiou sur l’île, un champignon parasite qui a pratiquement anéanti d’un coup les cultures locales de pommes de terre, nourriture de base des paysans irlandais.

Il se pourrait très bien qu’on assiste ici au même phénomène. Le sujet n’est pas très soulevé par les médias mais il nous concerne directement même si elle est produite à plus de 5000 km. Lorsque nous voyons de vastes champs de maïs, soya, pois ou toutes autres monocultures, que croyez-vous qu’il pourrait se passer un jour chez-nous? Changements climatiques, introduction d’un parasite, bactérie ou maladie végétale par inadvertance, résistance des insectes aux insecticides, mauvaise herbe envahissante incontrôlable et j’en passe. 

Quelles seront nos meilleures armes si ce n’est notre biodiversité? 

Il existe des solutions. C’est vous!
Par exemple, lorsque vous verrez d’autres types de bananes à l’épicerie, achetez-en.
Comme dirait Laure Waridel «Acheter, c’est voter ».
AJOUT DU 01 NOVEMBRE 2011: La fin de la banane? (émission radiophonique de Radio-Canada « bien dans son assiette »)

Combien vaut un papillon?

09 jeudi Déc 2010

Posted by Michel in Biodiversité

≈ 1 commentaire

La question peut surprendre mais aujourd’hui l’écologie est intimement liée à l’économie. Si ce papillon venait à disparaître, quels impacts économiques engendrerait-il? Quel est son apport comme insecte pollinisateur dans une région agricole donnée pour qui la production de fruits et légumes est importante? Esr-il la nourriture principale d’un oiseau qui lui, joue un rôle crucial dans la lutte contre un insecte nuisible; réduisant ainsi l’apport en insecticide? La chenille mange t-elle une mauvaise herbe qui, sans ce contrôle, obligerait le milieu agricole à recourir à de l’herbicide nocif? Tous ces exemples de questionnements ne sont pas de vulgaires concepts flous… c’est du très concret.  

Wow! On est dans un sujet plutôt flyé mais il est déjà étudié par le « Redpath Biodiversity Project » via la théorie de la biodiversité. Cette théorie vise notamment l’identification des espèces en perdition pour ainsi mieux comprendre comment les préserver de la disparition totale. D’une certaine manière, elle permet de comprendre l’impact économique de ces organismes vivants dans leur environnement et du même coup, des gains monétaires associés à leur présence. Tout un contrat!

En résumé, si un maillon vivant (insecte, animal, plante, etc.) de la chaîne venait à disparaître, combien coûterait-il pour le remplacer pour que sa contribution soit compensée ? C’est aussi bête et froid que ça.  Pour ceux qui souhaiteraient en apprendre davantage sur cette nouvelle réalité, je vous invite à visiter leur site Internet. Je suis triste de penser qu’on en est rendu là!

Toutefois, en brandissant l’argument économique, c’est une autre manière de faire comprendre à certains moins réceptif, la richesse qu’ils ont sans le savoir. Mon père disait souvent: « Quand ça sort de ta poche, t’écoutes pas mal plus ».

Moi… j’aime les papillons.

Comment en sommes-nous arrivés là?

08 lundi Nov 2010

Posted by Michel in Biodiversité

≈ Laisser un commentaire

USC Canada (Unitarian Service Committee of Canada) fondé en 1945 par le Dr. Lotta Hitschmanova, est un organisme sans but lucratif dédié, entre autre, à la mise sur pied de projets orientés vers la protection et la préservation de la biodiversité de communautés locales d’Afrique, d’Asie et d’Amérique Latine.

Pour aider ces localités, ils ont créé un projet s’intitulant « Seeds of survival » pouvant être traduit librement par « les semences de la survie ». Cet outil promouvoit la sécurité alimentaire à long terme des fermes marginales. En soutenant les techniques de culture ancestrales et le savoir des petits agriculteurs, le programme vise, par la même occasion, la diminution de leur dépendance agroalimentaire et l’abolition des métothes de cultures intensives à grande échelle de leurs terres, souvent inappropriées à leurs types de sol. 

Par ailleurs, le meilleur moyen selon moi pour faire avancer une idée demeure la sensibilisation. Dans cette optique mais aussi pour expliquer l’impact de ces transformations sur leur mode de vie par le nôtre, USC Canada a créé une animation de 6 minutes intitulée « Histoire de Bouffe / Qu’est-il arrivé à notre nourriture? ». Vous comprendrez en voyant la vidéo qu’abondance ne rime pas nécessairement avec qualité ou respect de l’environnement..

Pour les intéressés, le site permet aussi la consultation de thèmes tels:

  • Les agriculteurs;
  • Le pouvoir des semences;
  • Le système alimentaire;
  • Endettement ou auto-suffisance?;
  • Biodiversité 101;
  • Carnet de voyage 2010 et;
  • Agissez!

Et comme ils l’écrivent: « Histoire de Bouffe vous fera réfléchir sur notre système alimentaire bien mal en point« .

Bon visionnement!

L’arche de Noé « verte »

25 lundi Oct 2010

Posted by Michel in Biodiversité

≈ 1 commentaire

réserve mondiale de semences de Svalbard

Le 26 février 2008 en Norvège, s’est inaugurée la plus grande banque de semences du monde:  la réserve mondiale de semences de Svalbar. Véritable grenier international, cette initiative pourra recueillir des millions d’échantillons végétal dans des conditions optimales de conservation (-18 degré). À 1110 km du pôle Nord, 100 pays ont déjà envoyé plus de 100 millions de graines qui pourront prendre la relève si des catastrophes survenaient (guerres, épidémies, infestations d’insectes, mauvaises gestions des ressources par des régimes politiques instables et/ou environnements naturels menacés), et ce, afin de préserver la biodiversité de la planète. Cette forteresse conçue pour résister à tous les assauts a été creusé directement dans le permafrost, un sol gelé en permanence. Lors de l’inauguration, 676 boîtes de semences ont été reçues pesant en tout 10 tonnes. Baptisée aussi « réserve de semences du jugement dernier » par les théoriciens du complot, cette appellation fait référence aux possibles cataclysmes planétaires pouvant survenir dans un proche avenir ou futur lointain. Pour les adeptes de ce genre de pensée, un très long commentaire a été écrit sur ce sujet par François Marginean du site les centpapiers, une plateforme de journalistes civiques . Je dois avouer que ça laisse songeur.  

En décembre 2009, 430 000 cultivars uniques avaient été acheminé à Svalbar.

Pour ceux qui souhaitent en apprendre davantage, le National Geographic a écrit un très long article sur le sujet (en anglais seulement).

Qui plus est, voici un vidéo vous montrant concrètement l’étendu de cette structure.

Pourquoi une si vieille nouvelle? Et bien, nous aussi au Canada, nous possédons nos banques de semences. Pas aussi grandiose que la réserve mondiale de Svalbard, c’est un secret souvent bien gardé.

En effet, le Canada possède « Le Réseau canadien de matériel phytogénétique« . Situé à Saskatoon en Saskatchewan, le siège social gère différents points de services disséminés un peu partout à travers le Canada. Certains vont s’occuper  de la pomme de terre, d’autres les céréales, les fruitiers, etc. La merveille là dedans! Et bien, vous pouvez commander du matériel génétique exempt de toutes maladies gratuitement.  Vous n’avez qu’à suivre le lien un peu plus haut dans le texte pour vous diriger vers le formulaire de commandes. Une multitude de variétés vous attendent. J’avoue que la présentation est rébarbative mais « que voulez-vous! » nous aurait lancé notre ancien Premier Ministre Jean Chrétien.

Vous pouvez faire une différence

07 jeudi Oct 2010

Posted by Michel in Biodiversité

≈ Laisser un commentaire

Framboisier d'automne

Vous vous dites : « J’aimerai bien faire ma part pour protéger mon patrimoine végétal, mais à quoi ça sert, je suis tout seul ». Sachez que même de manière individuelle, vous pouvez faire une différence.  Si des centaines d’individus sèment une seule variété, imaginez la force d’un tel réseau. Si le manque d’espace est votre principal obstacle, choisissez des plants de petites tailles. Si votre temps est précieux, misez sur les vivaces. Et finalement, si vous n’arrivez pas à trouver d’anciennes variétés à protéger, visitez « Salt Spring Sanctuary Society». Pour un abonnement de 20$, vous pouvez sélectionner dans leur banque de spécimens jusqu’à 5 variétés. Ils vous feront parvenir le tout par la poste. Ils vous demanderont également, mais c’est optionnel, de leur envoyer vos observations sur le comportement de vos protégés. Si vous le faites, ils vous proposeront de choisir, l’année suivante, encore jusqu’à 5 variétés et ce, sans aucun autre frais d’abonnement. Aussi longtemps que vous contribuerez à faire connaître l’état de vos végétaux, vous serez considérés comme membre actif et n’aurez plus à débourser d’argent pour rester membre. Seul inconvénient, le site est uniquement en anglais. Mais encore là, contactez-moi et je vous fournirai d’autres alternatives.  Bon jardinage!

Pourquoi cultiver d’anciennes variétés de légumes et fruits du Québec?

25 samedi Sep 2010

Posted by Michel in Biodiversité

≈ 5 commentaires

Premièrement, pour une question de climat.

Nous habitons à Saint-Denis-sur-Richelieu, une zone classée 5a. Notre région est propice à l’agriculture grâce à un sol argileux et aux sédiments déposés suite au passage de la mer de Champlain. Nous demeurons justement près de Saint-Hyacinthe, une technopole agroalimentaire. Nos savoir-faire.

Toutefois, malgré la générosité de son sol, notre situation géographique nordique nous oblige à recourir à des plantes bien adaptées.

En effet, elles doivent produire rapidement à l’intérieur de 160 jours environs soit entre le milieu mai et la fin septembre (moments habituelles où il n’y pas de risques de gel).  Nos ancêtres l’avaient très bien compris.

C’est pour cette raison qu’ils ont développé au fil des siècles une foule de plantes uniques pouvant répondre à cet objectif.

Deuxièmement, pour retrouver ces spécimens rares voire en voie d’extinction et leur redonner une place dans nos assiettes. Car c’était vraiment leur but premier; nourrir leur protecteur. Un véritable cercle de vie puisque l’un n’allait pas sans l’autre. Bonne découverte dans les semaines à venir!

Articles ultérieurs →

Catégories

  • Agrotourisme patrimonial
  • Avis de recherche
  • Événements et perfectionnement
  • Biodiversité
  • Carte postale du mois
  • Céréales du patrimoine:
  • Curiosités au potager
  • Fleurs alimentaires ancestrales
  • Fleurs d'antan
  • Fruits du Québec
  • Fruits et légumes du Canada
  • Légumes du Québec
  • Les herbes nuisibles ancestrales
  • Outils de références
  • Personnages liés à l'agriculture au Québec
  • Plantes comestibles indigènes au Québec
  • Production de vos semences
  • Saveurs d'autrefois
  • Types de jardins-potagers
  • Vieux trucs de jardinier
  • Visites de potager

Balados jardinage du Québec

  • Radio légumes et cie

Blogue jardinage

  • http://jardinsdarlington.ca/fr/blogue-du-fermier/
  • Je suis au jardin
  • L'année du jardinier
  • Le jardinier maraîcher
  • Le potager urbain
  • Les Jardins d'Arlington

Liens

  • Jardinage Québec

Organismes de promotion de la culture potagère

  • Action Communiterre
  • Centre d'initiative en agriculture de la région de Coaticook

Organismes de sauvegarde du patrimoine agricole

  • Rare breeds Canada
  • Salt Spring Sanctuary Society
  • Seeds savers
  • Semences-Partage
  • Semencier du patrimoine

Production arboricole au Canada

  • Apple Luscious
  • Silver Creek Nursery

Production arboricole au Québec

  • Pépinière ancestrale
  • Pépinière Casse-noisette
  • Pépinière fruitière rustique & ancestrale
  • Pépinière Green barn nursery

Production de plantes indigènes du Québec

  • Horticulture Indigo
  • Pépinière rustique

Production de semences ancestrales au Canada

  • Annapolis Seeds
  • Casey's heirloom tomatoes
  • Eagle Creek Seed Potatoes
  • Eagleridge seeds
  • Eternal seed
  • Full circle seeds
  • Greta's Organic Gardens
  • Hawthorn Farm Organic Seeds
  • Heritage Harvest Seed
  • Heritage Seed and Produce
  • Hope Seeds
  • Norton Natural, native & perennial vegetables
  • Prairie Garden Seeds
  • Terra Edibles
  • Urban Harvest
  • Yuko open pollinated seed

Production de semences ancestrales au Québec

  • Ferme cooprative Tourne-sol
  • Jardins de l'Écoumène
  • Jardins de la gaillarde
  • Jardins du Grand-Portage
  • Jardins la brouette
  • Jardins Laurentiens
  • Jardins Missisquoi
  • Le Jardin de Julie
  • Le jardin des vie-la-joie
  • Le noyau
  • Le potager ornemental de Catherine
  • Les jardins Boréals
  • Les jardins féconds de Kélanie
  • Les semences du batteux
  • Les semences nourricières
  • Micro serre rustique
  • Nouveau paysan
  • Semences Solana
  • Société des plantes
  • Terre promise

Production de semences exotiques au Québec

  • Rarexoticseeds

Production maraîchère de légumes anciens au Québec

  • L'Orée des bois
  • La croisée des cultures
  • La Grelinette
  • Les jardins d'Ambroisie
  • Les jardins de la terre
  • Pépinière Jean Gagné

Web télé

  • Le jour de la terre
  • Secrets de jardinage
  • Vos agriculteurs

Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par e-mail.

Propulsé par WordPress.com.

  • Abonnement Abonné
    • Potagers d'antan
    • Rejoignez 568 autres abonnés
    • Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
    • Potagers d'antan
    • Abonnement Abonné
    • S’inscrire
    • Ouvrir une session
    • Signaler ce contenu
    • Voir le site dans le Lecteur
    • Gérer les abonnements
    • Réduire cette barre
 

Chargement des commentaires…