Ce mardi 12 mai 2015 à 18:30, Madame Deanna Kazina vous convie à l’ouverture officielle de la première bibliothèque de semences au Québec. Située à la bibliothèque Atwater au 1200, avenue Atwater à Montréal (entrée par la station de métro Atwater), cette initiative se veut un programme partage de semences destiné à tous les gens de la grande région de Montréal.
Lors de cette soirée, vous sera projeté le film Open Sesame: The Story of Seeds avec une discussion à la fin de la projection. L’entrée est libre avec possibilité de faire un don.
Il y aura également une distribution gratuite de semences et de plants de tomates Grand Rouge Tomate, Petit Moineau, Blanche du Québec, rayé Caravan, Violet Brandywine, et Litchi. Pour votre information, quelques-unes de ces variétés proviennent de notre propre stock de semences qu’ils ont reproduit l’an passé.
Pour en savoir plus, veuillez communiquer avec Deanna Kazina au deanna@actioncommuniterre.qc.ca.
IL EST IMPORTANT DE SOULIGNER QU’IL Y A EU UNE ERREUR « D’ANNÉE » LORS DE LA PRODUCTION DE L’AFFICHE. VOUS DEVRIEZ Y LIRE 2015 ET NON 2014.
Pour les personnes irritées par la publicité unilingue anglaise de cet article, lisez la section commentaire.
(mise à jour:19-05-15): Aux dernières nouvelles, 55 personnes se sont déplacées lors de cette soirée. Merci à Madame Kazina pour ce suivi.
je suis tres dessus votre activites est seulement en anglais la loi 101 nos ancêtres sont canadiens Français
Bonjour Monsieur Simard,
Loin de nous l’idée de provoquer la controverse.
Notre blogue n’est surtout pas orienté vers la délicate question linguistique.
Premièrement, ce n’est pas notre activité mais une invitation que nous avons reçue et cru pertinent partager à ceux et celles intéressés par la préservation des semences ancestrales. L’initiative gratuite est organisée par Madame Kazina, unilingue anglaise originaire d’Alberta. Elle est venue étudier au Québec à l’université Concordia il y a un peu plus d’un an et elle a décidé d’investir de son temps personnel à bâtir ce premier outil gratuit qui sera disponible à l’ensemble des Montréalais, francophones et anglophones. Et vous remarquerez, nous avons traduit en français les informations utiles. Je lui transmettrai votre commentaire pour qu’elle puisse en prendre connaissance et éventuellement qu’elle comprenne la réalité québécoise.
Nous ne croyons pas que Madame Kazina ait fait cela dans un but mesquin.
Il est facile de critiquer sans connaître l’autre côté de la médaille.
Un petit clin d’œil en passant. On écrit « déçu » et non « dessus ». À savoir que le français n’est pas juste une histoire de langue mais aussi d’écriture.
Merci d’avoir pris le temps d’écrire ce commentaire.
Ça nous donne l’occasion de mettre les pendules à l’heure.
Michel Richard
POTAGERS D’ANTAN
Et ce tout en anglais la pub…! Très édifiant et respectueux d’un Québec francophone.
Merci Michel pour cet annonce,
Je connais des gens que ça pourrait intéresser, je leur transmets.
Bon dimanche!
Bla bla bla encore des chicanes de langues. Je suis très heureux que tu partages avec nous cette nouvelle. Je vais également la partager sur facebook. Nul n’est prophète en son pays. Si cette personne (Mme Deanna Kazina) a pris le temps de prendre son temps de réaliser un tel exploit elle mérite notre respect. Et si son audace face aux monopoles des multinationales qui contrôlent 66% des semences (https://www.swissaid.ch/fr/Dangereux%20monopoles%20sur%20semences) peut inciter d’autres personnes à travers tous le Québec, tous le Canada ainsi que les États Unis; à se réapproprié nos semences. On doit la féliciter et lui dire bravo. En passant je suis unilingue français et je ne m’offusque plus lorsqu’il s’agit d’une nouvelle aussi importante qui doit être connue par le plus de gens possible. Merci encore Michel.
L’événement est très bien en soit,là où le bas blesse c’est que l’affiche pour en faire la promotion est uniquement(sauf une petite ligne en français) en anglais ce n’est pas d’en faire une chicane de langue, c’est de respecter le fait français au Québec .C’est tout.
Correction:C’est là que le bât blesse