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Potagers d'antan

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Potagers d'antan

Archives mensuelles : mars 2017

Comment reproduire et conserver vos semences de gourgane

25 samedi Mar 2017

Posted by Michel in Production de vos semences

≈ 3 commentaires

Gourgane Petite du Lac Saint-Jean

Très ancienne légumineuse apportée par les premiers colons, la gourgane a quasiment disparu du paysage québécois avec l’arrivée de la pomme de terre. Les seules régions ayant poursuivi sa culture furent celles de Charlevoix et du Saguenay Lac Saint-Jean. Pourquoi ne pas l’inscrire sur la liste de vos plantes à semer cette année? Légume très facile, il possède la particularité de s‘adapter à tous types de sols irrigués, pourvu de conserver une humidité constante. Une autre de ses caractéristiques particulières consiste aussi au fait qu’elle se sème très tôt au printemps (entre le 15 au le 20 avril). Capable de germer à partir de 3.3º Celsius, les jeunes semis peuvent même supporter un gel jusqu’à -3º Celsius.

Toutefois, pour votre premier semis direct, enfouissez-la à une profondeur de 10 cm pour la protéger. Après le dernier gel, vous pourrez alors la planter à 5 cm de profondeur. Vous pourrez même semer jusqu’à 5 semis successifs pour en manger tout l’été; soit à chaque 15 jours. Mesurant jusqu’à 1 mètre ½ de hauteur, elle n’a pas besoin de tuteur. Mais, par expérience et ce, pour une petite surface, ne l’installez pas en zone de grands vents sinon, elle se couchera. Distancez de 75 cm entre les rangs et 10 cm entre les plants. Elle viendra à maturité après 90 jours. À noter que la plante se fait attaquer par le puceron. Si l’infestation devient majeure, utiliser un insecticide naturel à base de tabac ou d’ail.

Par contre, pour une consommation fraîche (ex: pour la soupe à la gourgane… voir recette ici-bas), récoltez au 3/4 de sa maturité (environ après 68 jours). Vous verrez alors de belles fèves blanches un peu verdâtre. Vous pourrez aussi les congeler pour un repas ultérieur. 

Par ailleurs, si vous souhaitez conserver vos graines pour l’année suivante, assurez-vous qu’il n’y ait pas d’autres cultures de gourganes à moins de 1.5 kilomètres. Vous aurez aussi intérêt à poursuivre leur maturité au-delà des 90 jours soit jusqu’au moment où la plante se desséchera totalement. Vous verrez les cosses noircir (vraiment très noir) et, par un après-midi ensoleillé, sans pluie depuis quelques jours, vous ramènerez les cosses dans la maison. Écossez et déposez dans un pot en vitre (ex: pot Masson). Les semences seront beaucoup plus foncées, presque brun noir. Une pellicule se colle aussi autour de la graine. Elle partira en séchant. Il m’arrive quelques fois d’attendre quelques jours pour être certain qu’elles soient totalement sèches en les laissant dans un bol. Si l’ongle de votre pouce s’imprime sur la graine, c’est mauvais signe. Laissez-la encore durcir. Enfin, entreposez vos pots dans un endroit au frais à l’abri de la lumière en inscrivant le nom du cultivar et la date de récolte. Dans de bonnes conditions, vos graines se conserveront entre 5 et 7 ans. 

Carte postale de mars 2017

17 vendredi Mar 2017

Posted by Michel in Carte postale du mois

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J’adore les coccinelles… pas les asiatiques mais les belles rouges indigènes au Québec. Insecte ami au jardin, saviez-vous qu’on lui attribuait aussi le surnom de « bête à bon Dieu »? Intrigué? Pour faire changement de mes articles fleuves, je vous propose de voir sa petite légende en images ici-bas.

L’ABC de l’étiquetage (partie 3)

10 vendredi Mar 2017

Posted by Michel in Outils de références

≈ 1 commentaire

Les canadiens doutent de ce qu’ils mangent dans leur assiette. Voilà un constat surprenant révélé par la première étude exploratoire pan-canadienne sur le sujet publiée au début de 2017 par la faculté d’agriculture de l’Université de Dalhousie. Selon les chercheurs, parmi les éléments alimentaires frauduleux, on y suggère entre autre:

…une étiquette non conforme, l’omissions dans la liste des ingrédients ou d’une erreur sur la provenance d’un produit.

Le monde des semences ne fait pas exception. Dans cette troisième et dernière partie, nous abordons justement les renseignements qu’on tente ou qu’on ne veut pas que vous sachiez. Les détails se cachent trop souvent entre les lignes.

LES RENSEIGNEMENTS JAMAIS AFFICHÉES

ORGANISMES GÉNÉTIQUEMENT MODIFIÉS (OGM): Selon OMG, une source d’information gouvernementale québécoise sur les organismes génétiquement modifiés, un OGM se définit comme:

un organisme vivant auquel on a ajouté un ou des gènes pour lui donner un caractère spécifique, par exemple, la résistance à un virus;

OU

un organisme vivant dans lequel on a bloqué ou atténué l’action indésirable d’un gène, par exemple, la synthèse d’une protéine allergène.

Il n’y a pas encore de cadre législatif obligeant les entreprises à indiquer la présence d’OGM dans leurs produits. Et ce n’est peut-être pas pour rien.

En effet, selon une étude faite en Alberta en 2010 concernant l’acceptabilité sociale des OGM auprès de la population canadienne, près de 50% des personnes interviewées se sont dites très préoccupées par le sujet; le Québec et la Colombie-Britannique étant les provinces les plus concernées par le phénomène. Au moment d’écrire ces lignes, treize espèces de plantes génétiquement modifiées ont été approuvées au Canada à des fins de commercialisation: le maïs-grain et le maïs sucré, la pomme de terre, la tomate, le coton, le soya, le lin, le canola, la betterave sucrière, la luzerne, le riz, la courge, la papaye et la pomme. Vous en mangez déjà probablement sans le savoir.


Dans l’ordre: en haut gauche (Avery) en bas (McCarty) et à droite (MacLeod)

Saviez-vous que? Le médecin américain d’origine canadienne, Oswald Théodore Avery (1877-1955) avec ses collaborateurs Colin Munro MacLeod (1909-1972) et Maclyn McCarty (1911-2005) furent à l’origine, en 1944, de la découverte du rôle de l’acide désoxyribonucléique comme support de l’hérédité; Le fameux ADN. Cette découverte montra le rôle de l’ADN comme molécule capable de transporter l’information héréditaire et qu’elle constitue les gènes à l’intérieur des chromosomes. Un cratère lunaire porte son nom n’ayant pu recevoir le prix Nobel de son vivant. Ce fût le début des OGM.


LES GRAINES ENROBÉES: Vous douteriez-vous qu’en achetant vos semences, celles-ci pourraient être enrobées de pesticides et/ou herbicides et/ou de fongicides très nuisibles pour l’environnement. Il s’agit d’un processus par lequel on entoure la graine d’un liquide argileux qui, une fois séché, va donner une apparence étrange (verte, blanche, rouge…) très différente de la couleur d’origine. L’exemple le plus commun s’illustre par les semences à gazon verte fluo. Souvent, on joue sur les mots en spécifiant qu’elles sont recouvertes d’une substance inerte sans vous préciser leur contenu. On mise sur l’effet recherché comme une germination accrue, une résistance aux champignons ou une protection face aux insectes. Aujourd’hui, avec le recul et les études, la recherche tend à prouver qu’une semence traitée avec la famille des « néonicotinoïdes » serait l’une des principales cause de la disparition des abeilles. Et qui dit « abeilles » fait référence à « pollinisateurs ». Donc, moins d’abeilles, moins de fruits et légumes. Le nom scientifique utilisé pour l’enrobage n’est jamais inscrit. Seule une réglementation pourra y mettre un frein. Surpris par ces infos? Tournez-vous vers des semences certifiées biologiques. Vous pouvez déjà faire une différence.

LA PROVENANCE DES SEMENCES: On croit à tord que le distributeur produit toutes les variétés offertes dans son catalogue. ERREUR! Bien souvent, ce dernier fait appel à plusieurs producteurs payés au prix du « gros ». En divisant les lots, il peut s’assurer un profit lors de la revente. Pour un exemple très hypothétique, suggérons un achat de 250 semences de melon de Montréal au coût de 20$. Subdivisé en lots de 25 graines à 3.50$ le sachet, le négociant se trouve avec un profit de 15$ ou 75% sur son achat; un bon rendement. Il est impossible de savoir, à moins de le demander, où les semences ont été produites. Sans cette info, les graines pourraient donc avoir été cultivé de n’importe quelle manière. Donc, avoir été en contact avec des intrants chimiques (herbicide, insecticide, fongicide, etc.) à moins d’avoir la mention biologique (voir l’article précédent). Mais encore là, comment le distributeur peut-il assurer à 100% de la bonne culture par un tiers? Le phénomène ne date pas d’hier puisque toutes les grandes entreprises du siècle passé (Rennie’s, Ewing, Verret…) importaient presque toute leur production d’Europe, des États-Unis et d’ailleurs au Canada. Cette manière de procéder est souvent décrite dans la documentation et généralisé à l’industrie. Seuls de petits et très rares semenciers parviennent à développer une production totalement locale. Ça leur prend beaucoup d’organisation pour éviter les croisements, respecter les distances d’isolement et les rotations de cultures. RESPECT!

En conclusion…

Dans leur plus récente édition (revue et corrigée) de leur guide de production à petite échelle (2013), les semences du patrimoine affirme que les normes de production pour les semences commerciales sont basées sur la « confiance ». Ils ajoutent « ceux qui commercialisent leurs semences doivent penser à la réputation qu’elles pourraient acquérir, non seulement pour leur propre entreprise, mais aussi pour tout le secteur de la production semencière au Canada ».

Évidemment, l’achat de graines dans d’autres pays via les sites Internet (eBay, Amazon, entreprises privées, organismes de sauvegarde…) vous amène, en plus, à transiger avec des législations gouvernementales parfois plus restrictives, parfois très laxistes. Se donne t-on réellement la peine de vérifier la manière dont vos semences ont été produite? On achète, comme une bonne partie de nos biens, avec nos yeux, avec nos émotions. Parce qu’aujourd’hui, le jardinage est devenu un passe-temps, non une nécessité vitale comme avant. C’est une différence cruciale. Et les entreprises l’ont compris. Elles aussi, comme les plantes s’adaptent. Et qui les forcent à le faire….. VOUS!

Nous vous souhaitons une excellente saison de jardinage 2017!

L’ABC de l’étiquetage (partie 2)

02 jeudi Mar 2017

Posted by Michel in Outils de références

≈ 2 commentaires

Si un jour vous consultez le Guide de la loi et du Règlement sur l’emballage et l’étiquetage des produits de consommation du Bureau de la concurrence (une belle petite lecture de chevet), vous remarquerez un passage intéressant dans la section des exemptions.

En effet, au paragraphe 4(1) du règlement, on y stipule que:

Les produits préemballés qui sont soumis aux exigences de la Loi relative aux aliments du bétail, de la Loi sur les engrais, de la Loi sur les produits parasitaires et de la Loi sur les semences sont soustraits aux exigences en matière d’étiquetage détaillé (articles 4, 5, 6, 8, et 10) de la Loi sur l’emballage et l’étiquetage des produits de consommation.

Après avoir contacté l’agent régional de programme Engrais, Semence, Aliments du Bétail, Bio (Bureau régional de St-Hyacinthe / Division de la Production des végétaux de l’Agence Canadienne d’inspection des Aliments), nous n’avons pas encore eu de confirmation officielle à savoir si on pouvait écrire à peu près n’importe quoi sur les sachets. Comme la loi paraît complexe et pleine d’exceptions, on réécrira ce passage lorsqu’on aura la réponse.

Ainsi donc, pour faire suite à notre première partie (les renseignements habituellement inscrits), nous abordons maintenant l’information qui, selon nous, augmente la transparence de ce qu’on tente de vous vendre; une genre de valeur-ajoutée à votre choix. Est-ce mieux? C’est à vous consommateur de juger si ces infos éclairent votre sélection. En bout de ligne, le consommateur a toujours le dernier mot.

LES RENSEIGNEMENTS INSCRITS DE TEMPS À AUTRES

 

L’ANNÉE DE RÉCOLTE: Vous voulez augmenter considérablement vos chances de réussite, achetez les semences les plus récentes. Malheureusement, cette info fait trop souvent défaut et pour cause. Certaines entreprises refilent leurs invendus des années passées pour augmenter leur marge de profit. En agissant ainsi, cela réduit les dépenses supplémentaires pour la ré-impression des sachets. Évidemment, même si plusieurs variétés conservent un bon pouvoir de germination durant plusieurs années (ex: 5 ans facile pour les tomates), les gens auraient la perception d’acheter de « vieilles graines » s’ils voyaient 2014 et non 2016. En omettant volontairement cette info et en misant sur le manque de connaissances du consommateur, les compagnies font croire que le produit offert est récent. Mais comment savoir si vous dépensez pour des graines périmées? Pour vous aidez, faites simplement un test de germination quelques semaines avant de semer. Ça vous évitera de mauvaises surprises en constatant qu’elles ne germent pas. Vous pourrez alors ramener le produit à votre magasin pour remboursement ou échange avec votre coupon de caisse. Mais qui fait ça pour 3.50$? Encore une fois, on se fie sur votre manque de temps ou l’absence d’énergie pour vous plaindre. Et qui gagne encore?

LE TAUX DE GERMINATION: Pour faire du pouce sur le point précédent, certains organismes à but non lucratif de sauvegarde ou de petites entreprises ont justement la bienveillance d’esprit d’indiquer le pourcentage de germination pour l’année en cours. Par exemple, elles inscriront « 93.3%:2016 » pour mentionner qu’un peu plus de 9 graines sur 10 ont germées lors de leur test de l’an passé.

De fait, même pour l’année de récolte, il arrive souvent qu’un faible pourcentage soit déjà non viable. Et pour le consommateur muni de ses 25 graines à 3.50$, cela représente quant même une perte de 4% avec seulement une semence non viable. Ce n’est peut-être pas pour rien si de nombreux commentaires élogieux concernant la bonne levée des graines se voyaient affichés dans les anciens catalogues de semences. C’est un argument de vente majeur. Aujourd’hui, certaines entreprises font état d’une garantie promouvant le respect des normes canadiennes (ex: Canada no.1) mais saviez-vous qu’une telle cible variait entre 75% et 85%. Pire, les fines herbes peuvent voir ce pourcentage baisser jusqu’à un minimum de 50%. Il existe 8 certifications: Canada Fondation no.1 et no.2, Canada Enregistré no.1 et no.2, Canada Certifié no.1 et no.2 ainsi que Canada no.1 et no.2. Chaque certification possède son propre pourcentage minimal de germination par poids de 25 grammes. Et, tout dépendant du type de fruit ou légume, nul n’est tenu de vous vendre quelque chose au-delà de 90% de chances de levée. Intéressant, n’est-ce pas?

LE NOM LATIN: Bien qu’elle n’est pas présente sur toutes les enveloppes à cause des hybrides, cette donnée est excessivement importante pour tout individu qui souhaite reproduire ces semences issues de variétés fixées.

En effet, le nom latin des variétés hybrides n’a pas à être indiqué puisqu’il descend de deux parents distincts. Pour les sélectionneurs, les producteurs de semences ou par curiosité, cela nous permet d’apprendre le nom de famille botanique de la plante. Pour ceux soucieux de respecter les distances d’isolement entre deux membres d’une même famille, on doit absolument connaître s’ils se polliniseront entre eux. Par exemple, vous ne pouvez faire pousser deux cucurbitacées maxima (les supers grosses citrouilles) à moins de 1 kilomètre de distance entre elles. Mais, vous pouvez sans problème l’associer à une cucurbitacée pepo.


 

Carl Von Linné (image: www.garten-treffpunkt.de)

Carl Von Linné (image: garten-treffpunkt.de)

Saviez-vous que? On doit au naturaliste suédois Carl Von Linné (1707-1778) le système de classification binominale actuelle des 5900 plantes connues de son époque, une tâche titanesque qui causa vraisemblablement sa mort dû au surmenage. Bien oui, les fameux noms latins incompréhensibles pour la plupart d’entre nous. Avant la publication de son livre en deux tomes intitulés « Species Plantarum » paru en 1753, le classement des plantes et animaux s’avérait un véritable fouillis absolu rendant cauchemardesque toute tentative de classification. Par exemple, on pouvait donner plusieurs noms vernaculaires à un même oignon. Au 18e siècle, en utilisant les travaux de Linné, les botanistes et naturalistes s’entendirent pour les regrouper par famille et ensuite les diviser en différents groupes ou genres, puis de nouveau en espèces et sous-espèces. Aujourd’hui, ce système se veut la référence planétaire. Ainsi, si vous rencontrez une plante avec un « L » majuscule à la fin de son nom latin (ex: Pisum sativum L.), vous saurez qu’elle aura été répertorié par cet homme en personne.


Il y a probablement d’autres trucs qu’on pourrait ajouter. On se laisse, encore une fois, une porte pour ajouter des idées qu’on aurait pu oublier. Le monde de la production de semences, pour la majorité d’entre nous, se veut plutôt nébuleux, hors de portée, dans un monde inaccessible… même pour nous. Sans réelle référence, on se fie à la bonne volonté. On ose croire, qu’une autorité supérieure veille sur nous. Est-ce vrai? Loin des feux des projecteurs, il est plus facile de laisser libre cours à des astuces. C’est ce qu’on a découvert et ce qu’on vous entretiendra dans notre troisième partie: ce q’on vous cache.

 

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