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Archives mensuelles : juin 2012

L’agriculture biodynamique (2e partie)

27 mercredi Juin 2012

Posted by Michel in Types de jardins-potagers

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Ça nous a pris du temps mais nous ajoutons la deuxième partie à cet article paru le 16 septembre 2011. Mieux vaut tard que jamais. Pour vous aider à vous y retrouver, nous avons republié la première partie dans l’article précédent pour vous remettre en contexte. Lisez-le, ça aidera. Lorsque vous aurez terminé reprenez votre lecture après les trois points.

…

En effet, il est important de spécifier qu’une caractéristique bien particulière s’ajoute à  l’utilisation d’entrants naturels pour bonifier la structure du sol: l’astrologie. Et c’est là que plusieurs commencent à froncer les sourcils. Cet ajout tient compte du fait que le moment de plantation et de récolte auraient bel et bien une influence.

L’exemple le plus popularisé l’a été suite aux expérimentations de Maria Thum, une astronome allemande. Ayant rencontré son conjoint, Walter Thun, dans les années 1940, c’est lui qui l’initie aux principes de base de la biodynamie. À partir de ses apprentissages, elle pousse la réflexion encore plus loin en se questionnant à savoir: comment se fait-il qu’une graine de radis produit des légumes non uniformes en terme de grosseur, qualité, goût et ce, dépendamment de la journée où elle l’avait planté?

En principe, ils auraient tous dû être identiques en partant du constat qu’ils avaient bénéficié des mêmes conditions de plantation, d’arrosage, d’ensoleillement, de qualité des semences, etc.

Maria Thum (1922-2012)

C’est alors qu’elle crée dans les années 1950, selon ses observations, un calendrier astrologique horticole. L’exemple ici-bas s’en inspire. Nous vous dressons les grandes lignes mais les adeptes vous préciserons qu’il y a davantage de subtilités.

Exemple de calendrier lunaire (image: /www.rje.qc.ca)

Dans un premier temps, on prend en considération les lunes ascendantes et descendantes. À cela, s »ajoute aussi 4 thèmes (racine, fruit, feuille et fleur) répartis à divers moments dans l’année. Chaque thème représente une particularité spécifique. Voici la définition de chacun ci-dessous.

Légende du calendrier lunaire (image:www.rje.qc.ca)

L’idée n’étant pas de faire une complète formation sur cette approche, il est simplement important de retenir qu’il existe une appellation « Demeter » pour identifier les produits issus de l’agriculture biodynamique. L’équipe de la « Semaine verte dans leur reportage du 07 août 2010 mentionne que:

Selon Demeter international, l’organisme de certification, il y a plus de 4000 fermes certifiées biodynamiques dans 43 pays. En France, 235 fermes certifiées; en Allemagne, 1300. Au Canada, il y a 42 producteurs dans le programme Demeter, et il y en aurait autant qui pratiquent la biodynamie sans chercher la certification

Cette forme d’agriculture vous intéresse? Vous pouvez continuer à en apprendre davantage grâce à l’Association de biodynamie du Québec fondée depuis 1979.

Pour terminer, je vous relate une anecdote racontée il y a 25 ans concernant cette technique de culture. Je n’ai pu trouver aucune preuve ou source prouvant ces allégations. Elle n’est peut-être pas vraie mais comme j’aime bien raconter des histoires, je me suis dis « pourquoi pas ».

Durant la deuxième guerre mondiale, Hitler, adepte des sciences occultes, entend parler d’un livre proposant des principes gagnants utilisant  des techniques « non conventionnelles », voir « magiques » pour guider les agriculteurs dans leurs travaux des champs. Il veut posséder cette science et veut surtout empêcher le « commun des mortels » d’y avoir accès; désirant augmenter encore plus sa main mise sur le peuple. Il ordonne à ses services secrets de le dénicher et d’éliminer tous ceux l’ayant eu en leur possession. Il fût trouvé et par un  malheureusement hasard, était inscrit sous la pochette, le nom des hommes l’ayant emprunté. Ceux-ci furent exécutés et l’agriculture biodynamique fût perdue pendant des années jusqu’au jour où il fût retrouvé (…) 

C’est le bout de l’histoire qu’il me manque. Que voulez-vous, la mémoire est une faculté qui oublie… surtout après 25 ans. Si vous en connaissez la fin ou si jamais je me suis gourré, n’hésitez pas à m’en faire part.

L’agriculture biodynamique (1ère partie)

27 mercredi Juin 2012

Posted by Michel in Types de jardins-potagers

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Depuis des milliers d’années, l’hommme cultive la terre. Il a développé une foule de techniques dont l’une d’entre elles, a été conçue en 1924 par l’anthroposophe allemand Rudolf Steiner: l’agriculture biodynamique. Nous vous avertissons, elle est considérée ésotérique et est critiquée par plusieurs.

Rudolf Steiner (1861-1925)

J’ai été en contact pour la première fois avec cette forme d’agriculture il y a plus de 20 ans. Mon ex- beau-père, adepte du REIKI, m’avait amené à une séance d’information où le formateur, un agronome des Cantons de l’Est (désolé, j’ai oublié le nom!) prétendait augmenter de manière significative et toute naturelle sa production horticole contrairement à ses voisins agriculteurs utilisant leurs produits chimiques. Il parvenait même à l’appliquer dans d’autres sphères de sa vie notamment l’élevage, ses relations avec les gens, ses décisions d’affaires, etc. Bref, ce n’est pas pour rien s’il y aura plusieurs articles car elle est plutôt difficile à cerner en un seul.

C’est justement l’appauvrissement des sols dû à l’utilisation des engrais chimiques et la diminution de leurs productions animales et végétales que des agriculteurs alemands demandèrent à Steiner de réfléchir à des moyens pour les aider. Il anima 8 conférences intitulées: Cours aux Agriculteurs.

L’idée générale de son discours tient au fait que toute entité, qu’elle soit commerciale (ex: une entreprise), individuelle (ex: un terrain), animée (plante, humain, animal) est un organisme vivant autonome et qu’il cherche l’équilibre. Pour y arriver,

la biodynamie s’attache tout particulièrement au fonctionnement biologique …  et cherche avant tout l’amélioration de la qualité des produits.

Pour cela, on limite les entrants (ex: engrais) mais on augmente la plus-value de ce qu’on y intègre.

Ainsi, des terres pauvres pourront retrouver avec le temps, des qualités dignes des plus belles terres arabes. L’un des exemple les plus souvent évoqués renvoit à Alex Podolinsky. Ce pionnier de la biodynamie est né en Allemagne en 1925 où il immigre vers l’Autralie en 1947. Avec ses efforts, il convertit plus d’un million d’hectares de terres arides lessivées par l’utilisation abusives de produits chimiques en véritable oasis revitalisés. Comment a t-il fait ce tour de force? Et bien, il

… utilise les plantes pour réaliser des extraits végétaux, tisanes, décoctions, macérations, parfois combinées avec des dilutions, et qui servent à soutenir un bon processus végétatif et à limiter le développement des parasites.

Alex Podolinsky

Il existe de nombreuses préparations mais par soucis de donner un exemple concret citons, entre autre, la préparation de bouse de corne dite  » 500 « . Celle-ci sera obtenue par la fermentation de la substance dans le sol durant l’hiver, d’excréments de vache ayant été introduite dans des cornes de vaches. L’important sera d’utiliser uniquement la matière métamorphosée après la période hivernale. En séjournant dans la terre elle deviendra, d’où le terme, « biodynamisée ». 100 grammes de résidus seront dilués dans 30 à 35 litres d’eau et ensuite appliquées par pulvérisation sur 1 hectare. Cette mixture s’adresse au sol et aux racines des plantes. Appliquée au printemps et à l’automne, certains affirment qu’elle:

  • Édifie la structure du sol
  • Contribue à la formation d’humus et l’activité microbienne
  • Régularise le PH de la terre
  • Stimule la germination
  • Augmente la croissance des légumineuses
  • Dissout les formations minérales

De part les ingrédients utilisés, cette forme d’agriculture est considérée biologique. Mais même si les techniques de préparation et les ingrédients peuvent faire jaser, c’est surtout l’utilisation de l’astrologie qui en fait « tilter » plusieurs.

Antoine D’Avignon (1948-2003), jardinier de la dernière chance

21 jeudi Juin 2012

Posted by Michel in Personnages liés à l'agriculture au Québec

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Antoine D'Avignon (source: Radio-Canada / Découverte 22 oct. 2001)

Antoine D’Avignon (source: Radio-Canada / Découverte 22 oct. 2001)

Antoine D’Avignon est inconnu du public en général.

À priori, il paraît avoir vécu une vie ordinaire. Comme le personnage principal du film d’animation « L’homme qui plantait des arbres » de Frédérick Back, il avait un but, une passion, peut-être même une mission invisible et peu « jet-set » aux yeux du monde: celle de sauver des fleurs, des fruits et légumes de la disparition. Il serait sûrement surpris d’apprendre aujourd’hui, qu’il en est l’un des précurseurs au Québec et qu’à cause de lui, nombreuses de ses protégées n’ont pas sombrées dans l’oubli. Comme aucune source écrite n’y faisait référence à sa juste part, nous trouvions normal qu’il puisse aspirer à une meilleure reconnaissance pour ses efforts passés.

Antoine d'Avignon (photo: Gisèle d'Avignon)

Antoine d’Avignon (photo: Gisèle d’Avignon)

Né le 28 mai 1948 à Coaticook, il est le cadet d’une famille de 5 enfants. Il habite sur la ferme familiale où il apprend rapidement les rudiments de l’agriculture. Dans la vingtaine, il étudie à l’Université de Sherbrooke pendant un an et par la suite, il sera embauché en 1973 à l’âge de 25 ans par Agriculture Canada comme technicien en agriculture et ce, jusqu’à sa retraite le 28 mai 1998.

Entre-temps, il achète le 30 mai 1974 l’une des plus anciennes maisons du village de Saint-Louis-de-Pintendre qu’il habitera jusqu’à son décès. Sur ses deux arpents de terrain, il construit ses nombreux potagers. Les distances d’isolement sont très importantes pour préserver la pureté des cultivars. Il cultivait annuellement une centaine de variétés de fleurs, fruits et légumes quasi éteints. Les 26 cultivars de pommes de terre occupaient à eux seuls, 150 mètres carrés de son potager.

De fait, il est important de se remettre en contexte qu’au Québec, avant 1990 et l’arrivée d’Internet, la transmission des semences anciennes se résume à des échange de savoir et de matériel génétique de personne à personne. Si un individu brise la chaîne et qu’il en est l’unique héritier, c’est terminé. Monsieur D’Avignon s’aperçoit qu’au Canada anglais, la sensibilisation à la préservation des semences anciennes est beaucoup plus avancée qu’au Québec. Ses lectures l’amènent à prendre conscience de la disparition progressive et rapide de cette biodiversité agricole. Il apprend l’existence d’un organisme canadien de protection de semences créé en 1984 peu connu dans notre province nommé « Heritage Seed Program ». Il se sent aussitôt interpellé et la passion le gagne rapidement. Il s’y inscrit en 1989. Même avant de devenir officiellement son premier représentant (section Québec) 5 ans plus tard, il donne déjà des entrevues pour attirer l’attention du public sur la dégradation rapide de ce patrimoine agricole.

Par exemple, dans un article paru en mai 2000 dans Québec science, il sonnait déjà l’alarme en disant:

95% des variétés vendues dans les catalogues de semences sont hybridées ou encore transgéniques. Nos variétés sont pures, c’est-à-dire quelles n’ont pratiquement pas été croisées depuis plus de un siècle. C’est ce qui fait toute leur valeur.

Antoine D’Avignon (photo: Gisèle D’Avignon)

Entre 1990 et 1995, il répond aux demandes grandissantes des journalistes de la télévision, des journaux, des revues spécialisées, au courrier postal et fait aussi visiter ses jardins aux curieux. Sa soeur Gisèle se souvient des appels téléphoniques constants pendant qu’elle, son frère Pierre et des amis s’affairaient au potager. Une telle culture exigeait beaucoup de travail et seul, la tâche aurait été impossible.

Ainsi, après l’avoir vu à la télévision ou lu un article, maints passants lui léguait leurs précieuses semences pour la postérité dans l’espoir de les perpétuer.

En 2003, il racontait justement à Anne-Louise Champagne, journaliste au Soleil:

Un jour, le vieux monsieur Ouelette m’a confié trois tubercules de ses pommes de terre uniques. « Ça brillait dans ses yeux! Il me confiait quelque chose qui lui tenait beaucoup à coeur. Ses enfants n’étaient pas intéressés à cultiver ses patates. » Ces pommes de terre à la pelure très foncée, presque bleue, et à la chair très blanche, sont tout simplement délicieuses.

Il les a appelé « patate crotte d’ours de Louis-Marie ».

En effet, il devait souvent leur donner un nom car leur provenance se confondait dans le temps et les appellations d’origine s’étaient perdues ou leurs propriétaires ne leur en avaient jamais donné.

Vers la fin de son mandat, c’était 450 lettres ou appels téléphoniques qu’il avait reçu en quelques mois. « Mon bureau de travail, c’est un coin de ma table de cuisine! » écrivait-il dans son aurevoir comme représentant. Et toutes ses correspondances se faisaient à la main.

Comme l’a écrit Bob Wilddfong, ancien président du Semencier du Patrimoine:

Je n’exagère rien en disant que si ce n’avait été des efforts d’Antoine, le Programme semencier du patrimoine ne serait quasiment pas connu au Québec.

Il fût une source d’inspiration pour les autres représentants ayant pris sa relève les années subséquentes notamment Diane Joubert qui lui a même écrit un mot intitulé: Il était une fois une personne qui a changé ma vie.

Malheureusement, l’homme s’est éteint beaucoup trop jeune, le 21 août 2003, âgé de seulement 55 ans.

Nous tenons à remercier sincèrement Madame Gisèle D’Avignon pour son temps, ses recherches et l’envoi de documents visuels uniques.

Comment reproduire et conserver vos semences d’oignon

13 mercredi Juin 2012

Posted by Michel in Production de vos semences

≈ 15 commentaires

Graines d’oignon (image: http://campa-bio.skyrock.com)

L’oignon est biannuel, c’est-à-dire qu’il produit sa réserve d’énergie la première année et ses semences la deuxième. Éliminez tous spéciments ayant tendance à monter en graines la première année car les plants n’auront pas le temps nécessaire pour produire des graines viables avant l’hiver. C’est une spécifité génétique à proscrire.

Pour commencer, cultivez vos oignons en suivant les instructions inscrites sur le sachet du producteur ou selon les directives de celle ou celui qui vous les a remises. N’oubliez pas: ça ne marche pas avec les hybrides.

Après la récolte, faites les sécher dans un endroit ensoleillé et au sec pendant minimum une semaine. N’oubliez pas de les retourner de temps à autre pour un séchage uniforme. Surveillez surtout le collet et les racines. S’ils sont encore humides, c’est par là qu’ils pourriront lors de l’entreposage. Enlevez les résidus de terre et les racines en les tournant à la main.

Entreposez-les ou suspendez-les pour l’hiver dans un endroit froid et sec (entre 0 et 5 degrés celsius). Quelques sources conseillent de les déposer sur une assiette dans un vieux réfrigérateur si vous ne disposez pas d’une chambre froide mais surtout, évitez de les enfermer dans un sac. Ce sera trop humide. Une belle alternative convient de les suspendre dans de vieux bas de nylon. Malheureusement en anglais, cette vidéo montre quant même la manière de procéder si ça vous tente d’expérimenter. N’oubliez pas de surveiller une fois par mois pour éliminer tous spécimens douteux. Allez-y au toucher, à l’odorat et à la vue.

Le printemps suivant, vers la mi-mai pour la région de Montréal, plantez-les dans la terre espacés de 10 centimètres. Yves Gagnon des Jardins du Grand-Portage suggère de les enfouir à 4 pouces dans le sol pour de meilleurs résultats. Comme l’oignon produit peu de semences, plantez au moins 12 bulbes. Et assurez-vous de disposer d’une distance de 1.6 kilomètre entre une autre variété pour en préserver la pureté. Un tuteur s’avérera nécessaire pour supporter la hampe florale qui pourrait mesurer jusqu’à 1.3 mètre de hauteur. Il se formera un bouquet floral en boule. Une surveillance constance sera nécessaire car les semences ne mûriront pas en même temps. Avant qu’elles ne tombent sur le sol, coupez la tige et terminez le séchage à l’intérieur pendant quelques jours. Frottez les tête et les graines tomberont sur le papier que vous aurez préalablement déposer sur la table pour les empêcher de tomber par terre. Nettoyez les débris et insérer dans un sachet en papier. Inscrivez le nom de votre cultivar et la date de récolte. Elles se conserveront 2 ans.

Maison de l’apothicaire et floralies ancestrales

06 mercredi Juin 2012

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial

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Floralies ancestrales (image: www.villagequebecois.com)

Selon la définition de wikipédia:

Les apothicaires et apothicairesses étaient les précurseurs des pharmaciens. Ils préparaient et vendaient des drogues et des médicaments pour les malades. « Apothecarius » vient du latin et signifie « boutiquier » ce qui correspondait essentiellement aux pratiques des XIIIe et XIVe siècles, où la boutique était l’élément qui différenciait le commerçant sérieux du charlatan de passage. La profession s’autonomisa au XVIIIe siècle et l’apothicairerie fut progressivement remplacée par la pharmacie à partir du XIXe.

Et bien, si vous planifiez des vacances dans le coin de Drummondville et que le sujet vous intéresse, visitez une vraie maison d’apothicaire d’époque avec son jardin au Village québécois d’antan. Lors de notre visite, nous avions pu y admirer le jardin d’inspiration avec le nom des plantes marqué au pied de chacune d’entre elle.

Par contre, si  les plantes médicinales vous laissent indifférent, reprenez-vous avec leurs floralies ancestrales.7000 fleurs, fines herbes, plantes  indigènes et arbres fruitiers du 19e siècle côtoient les potagers des maisons de nos arrières grands-parents.  Amenez votre carnet de notes et votre appareil photo pour conserver ces souvenirs si jamais vous souhaitez vous en inspirer chez-vous.

Votre gentleman farmer

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