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Potagers d'antan

~ – Découvrez les fruits et légumes rares du Québec –

Potagers d'antan

Archives mensuelles : février 2011

Avis de recherche: La framboise blanche de Saint-Denis-de-Kamouraska

28 lundi Fév 2011

Posted by Michel in Avis de recherche

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framboise blanche (image: http://www.klyko.com)

Lors de la conférence horticole de Québec du 02 février 1888, Monsieur Jean-Claude Chapais dressa  un portrait de ce fruit cultivé dans la région de Saint-Denis-de-Kamouraska depuis « de temps immémorial ».  Mentionnant avec un point d’interrogation qu’il s’agirait de la variété « orange », il fait état de la rusticité (-30 degrés Fahrenheith / – 18 degrés celsius) du plant. 

En effet, sans avoir besoin d’un paillis de couverture en hiver, il serait rustique au point d’en recontrer sur des terrains vagues parmi les broussailles. Produisant en abondance à partir du 15 juillet jusqu’en septembre et ce, sans interruption, il déplore quelque peu sa tendreté. Ce qui ne l’empêche pas de rajouter qu’il ferait un fruit idéal pour le marché frais autour des villes car, selon ses dires, la framboise blanche-orange est, en plus d’être productive,

grosse, très sucrée, d’une belle couleur orange et l’une des meilleures en qualité que nous ayons rencontré.

Cité en mai 1888 à partir des notes obtenues de Monsieur Chapais, le journal l’Agriculture illustré fait état qu’un fruit cultivé est plus gros comparé à celui laissé à l’état sauvage.

Il existe de nombreuses framboise blanche de type « orangé » sur le marché.

Toutefois, nous n’avons aucune image nous permettant de comparer les cultivars. Par exemple, l’image ci-contre est une variété européenne. Vous en connaissez davantage sur celle de Saint-Denis-de-Kamouraska? Vous avez des documents (photos, archives, preuves…) qui pourraient nous aider dans nos recherches?  Faites-en nous part.

Nous remercions Martine Thibeault, agente de documentation à Solidarité rurale du Québec pour les renseignements complémentaires au livre du même organisme « De nature à culture: les produits du terroir, premier inventaire des produits du terroir québécois« .

Carte postale de février 2011

25 vendredi Fév 2011

Posted by Michel in Carte postale du mois

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Potager de l'Île d'Orléans (date et source inconnues)

Chaque mois, nous vous enverrons, à un moment donné, une belle carte postale d’époque en lien avec la culture horticole du Québec.

En effet, nous voulions vous faire profiter des belles images trouvées à travers nos recherches. J’espère qu’elles vous plairont.

En référence à l’image ci-dessus, nous sommes constamment surpris par la grosseur des potagers d’antan et le travail qu’ils devaient exiger.

D’ailleurs, l’entretien était majoritairement l’affaires des femmes car très peu d’hommes, outre de jeunes garçons, sont présents sur les photographies. Ils étaient probablement aux champs ou vaquaient à d’autres travaux agricoles.

Qui plus est, le potager en plus d’être un approvisionnement alimentaire important était aussi, pour plusieurs, une source de revenu d’appoint.

De fait, les surplus (fruits, légumes, fines herbes et aussi les fleurs) étaient écoulés dans les marchés locaux ou autrement.  

Bonne fin de semaine! 

Un vrai potager de la Nouvelle-France

24 jeudi Fév 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial, Types de jardins-potagers

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Potager de la Nouvelle-France

Lors des festivités du 400e de Québec, une petite initiative est presque passée sous silence en 2008.

En effet, un potager très particulier a été érigé sur les plaines d’Abraham sous l’aspect de ceux qu’on retrouvait à  l’époque de la Nouvelle-France. Madame Louise  Saint-Pierre, ethnologue,  en a été la conceptrice. Ayant été propriétaire d’une entreprise nommée le potager de la Nouvelle-France pendant de nombreuses années, ce n’est sûrement pas une coïncidence si c’est à elle qu’on s’est adressé pour cette tâche. Possédant une maîtrise en études médiévales jumelée à des études collégiales en agriculture, elle s’intéresse tout particulièrement à l’histoire horticole.  Elle possède une vaste collection d’anciens cultivars qu’on pouvait planter aux premiers temps de la colonie.

De fait, Madame Saint-Pierre voulait  l’œuvre la plus représentative possible en fonction des documents d’archives qu’elle avait consultés.

Reproduction de l'intérieur d'un jardin de la Nouvelle-France

Pour l’occasion, l’équipe de l’émission « la semaine verte » a réalisé le 24 mai 2009 un reportage (voir ici-bas) sur les débuts du projet jusqu’à sa réalisation complète. N’ayant pu le visiter lors de sa construction, nous nous y sommes rendus l’année suivante pour nous en inspirer. Car, l’un de nos souhaits serait qu’un jour, nous aussi puissions en ériger un pour ajouter à notre collection. Pour quelles raisons croyez vous que POTAGERS D’ANTAN prend un « S ».

En attendant de contempler le nôtre, vous pourrez voir celui-ci le long du sentier piétonnier menant au kiosque Edwin-Bélanger .

Curiosité au potager: l’arbuste aux bonbons

23 mercredi Fév 2011

Posted by Michel in Curiosités au potager

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Sur l'image, la variété Issai

Quel nom intriguant n’est-ce pas?

En fait, cette verbénacée (Callicarpa dichotoma), originaire de l’Asie de l’Est est un arbuste d’ornement qui comprend environ 150 espèces.  Celle présentée sur l’image ci-contre (variété Issai) se couvre de fleurs roses pâles pour ensuite donner des fruits non comestibles mauves très lumineux. D’autres produiront des fruits blancs, etc. et ce, en fonction du cultivar mais curieusement, les oiseaux ne semblent guère les apprécier. Les fruits survivront une partie de l’automne donnant de la couleur au jardin car en plus (en fonction de la variété), certaines offrent un feuillage spectaculaire.

D’une hauteur et d’une largeur de 1 à 2 mètres, il peut survivre dans des conditions allant jusqu’à -20 dégrés celsius (zone 5). Pratiquement jamais attaqué (insecte, maladie…) sauf peut-être à l’occasion quelques feuilles tâchées… mais si c’est juste ça. Pour garder votre plant compact, vous devez le rabattre à environ 10 centimètres du sol après chaque automne. Exige un paillis pour les 3 premières années car les jeunes plants sont plus fragiles que les adultes. Très rare au Québec. Disponible chez: enfin des fleurs.

En passant, je remarque par le taux de fréquentation l’intérêt des internautes à la section « curiosités au jardin ». Pour les amateurs de plantes originales, visiter le Jardin des curiosités. à Saint-Ours, en Montérégie. C’est un bel endroit au bord du Richelieu qui vous charmera par la diversité de ses découvertes peu communes.

Le jardin de curé

21 lundi Fév 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial, Types de jardins-potagers

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Jardin de curé à Shawinigan (image: http://www.eglisendp.qc.ca)

D’une époque remontant à la révolution française, le jardin de curé assurait traditionnellement la subsistance du curé mais aussi pouvait subvenir à nourrir les paroissiens dans le besoin. 

Pour être considéré un « vrai » jardin de curé, il doit possèder 7 éléments essentiels:

  • Des fruits et légumes
  • Des fleurs qui serviront à la décoration de l’église
  • Du buis symbolisant l’éternité
  • Une source d’eau pour désaltérer les oiseaux
  • De la vigne pour le vin de messe
  • Des herbes aromatiques
  • Et évidemment, une statue de la vierge Marie.

 Si vous visitez un tel jardin sous cette appellation, vous pourrez affirmer si c’est un authentique en vous basant sur cette énumération.

Vous souhaitez justement en contempler quelques-uns, rendez-vous aux endroits suivants, c’est habituellement gratuit!

  1. Église Notre-Dame de la Présentation (Shawinigan-Sud)
  2. Église de Saint-Venant-de-Pâquette
  3. Patro Le Prévost, centre communautaire et de loisirs à Montréal
  4. Église de Sainte-Marguerite-d’Youville

Si vous connaissez d’autres lieux, faites-nous en part, nous les ajouterons à cette liste.

Le maïs de Gaspé

18 vendredi Fév 2011

Posted by Michel in Légumes du Québec

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Maïs de Gaspé (image: livre Renewing America’s food traditions)

Nous sommes excessivement heureux de pouvoir, pour la première fois, grâce à Patrick, un généreux lecteur de ce blogue, affirmer avoir retrouvé la trace d’une variété vraiment très rare inscrite dans nos « avis de recherche »: le maïs de Gaspé. Nous avons cru de circonstances, diffuser cette bonne nouvelle et refaire, une seconde fois, un bref survol de ce maïs.

Champs de maïs de Gaspé

Par contre, les Français l’utilisaient surtout comme nourriture pour le bétail.  Une version plus sucrée aurait existé qui pouvait être mangé sur l’épi mais il était peu apprécié par les premiers arrivants.

Apparemment, Jacques Cartier en aurait observé des champs au même moment où il découvrait la péninsule gaspésienne en 1534. On pouvait le retrouver de New York jusqu’au nord extrême du Saint-Laurent.

La famille « Landrey » suivant leur arrivée en Nouvelle-France en 1684, aurait reçu des semences et par la suite, aurait contribué à sa renommée.

Louis Hébert, premier agriculteur de la colonie

18 vendredi Fév 2011

Posted by Michel in Personnages liés à l'agriculture au Québec

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Louis Hébert (image: l'abbé A.C. Hébert, 1918. Archives nationales du Canada)

Ce titre évocateur fait surtout référence au fait qu’il soit le pemier colon de la Nouvelle-France ayant pu subvenir à ses propres besoins alimentaires à même du sol sans apport extérieur. Apothicaire, épicier, bourgeois, Louis Hébert (1575-1627) est aussi le premier colon à s’installer en Nouvelle-France et presque par la force des choses, le premier dans bien des domaines. Arrivé à Québec en 1617, il défricha et cultiva au moyen d’outils manuels essentiellement, des terres situées sur les hauteurs de Québec. Expérimentant de nombreuses semences, Hébert impressionna moult observateurs par la diversité des espèces cultivées dans son jardin, en particulier les herbes comme les choux, raves, laitues, pourpier, oseille, persil, etc., toutes herbes utiles à l’alimentation et à la fabrication des médicaments. Il planta aussi des pommiers de Normandie, apportés de France et parmi les premiers à croître dans cette colonie. 

Selon certains écrits:

Son travail de la terre est d’autant plus méritoire que la Compagnie des marchands n’a jamais voulu lui apporter ni un bœuf ni une charrue.

Pour en connaître davantage sur le personnage, consultez un résumé de sa biographie générale.
Bonne fin de semaine!

Comment reproduire et conserver vos semences de navet

17 jeudi Fév 2011

Posted by Michel in Production de vos semences

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Silique (image: http://www.versailles-grignon.inra.fr)

Avant toute chose, le navet doit être isolé de 1,6 km de distance d’une autre variété de type rapa. Qu’est-ce que ça veut dire? Et bien, le nom latin du navet est brassica rapa subsp. rapa. Les moutardes de types orientales, les autres navets, les brocolis rapi ainsi que les choux chinois ne doivent pas être semés à l’intérieur de ce périmètre pour êviter tout croisement car ces légumes sont de la même famille.

Connaître le nom latin est donc très important lorsque vous produisez des semences pour éviter des mauvaises surprises. Comme le navet est un légume biannuel, la première année sera donc concentrée à la formation de la racine. Ne soyez pas surpris s’il ne monte pas en fleur. De toute façon, il n’aurait pas le temps de fleurir et fabriquer des graines. C’est pour cette raison que vous le planterez le plus tard possible (fin juin ou jusqu’à 50 jours après la date du dernier gel) pour qu’il puisse arriver à terme sans débuter son processus de floraison.

Par la suite, entreposez vos plus beaux spécimens en choissisant plusieurs racines car le navet a tendance à moins bien se conserver que le rutabaga. Une chambre froide est un endroit excellent. Je remercie mon beau-père de me passer la sienne pour cet exercice.

En effet, nous les enterrons dans du sable humide et c’est assez pesant à descendre au sous-sol. Mais vous pourriez aussi utiliser du brin de scie ou des feuilles mortes (que vous aurez récolté chez vos voisisns qui les auront laissées au bord du chemin… hi!, hi!, hi!).  N’oubliez pas de les vérifier quelques fois durant l’hiver pour qu’ils conservent leur aspect ferme et dodu. Ça vous laissera la chance de jeter ceux qui commencent à pourrir et ainsi éviter qu’elles contaminent les autres. Et pour nous, ça nous donne une raison d’aller voir nos beaux-parents avec toute la famille (hi!, hi!, hi!).

Au printemps, lorsque tout risque de gel au sol est passé, enterrez vos racines entièrement pour éviterle pourrissement de l’extrémité laissée hors du sol. Vous verrez, après quelques temps, poindre une tige stimulée par la réserve d’énergie de la racine. N’oubliez pas de tuteurer car ça monte de plus d’un mètre de hauteur.

De fait, après la floraison, il se formera des siliques (voir image ci-contre) à l’intérieur desquelles les graines apparaîtront. Laissez les sécher et n’ayez crainte, avec trois ou quatre spécimens, vous en aurez en quantité industrielle. Nous prévilégions minimum 7 racines pour assurer une bonne diversité génétique et surtout, palier aux aléas du jardinage (ex: racine mangée par un rongeur, tempête ayant fait casser les tiges, élimination d’un tubercule pourrie pendant l’hiver, etc….). Les graines se conserveront pendant 5 ans.

Mettez-les dans un sachet opaque dans un endroit sec en inscrivant le nom du cultivar et l’année de la récolte.

Anecdote: Les siliques séchées contiennent les graines. Et lorsqu’elles sont archi-sèches, il devient difficiles de les récolter sans qu’elles explosent en propulsant les minuscules graines partout dans les airs car elles ont tendance s’ouvir toutes seules. C’est une bonne manière de voir qu’elles sont prêtes. Ce fût l’année de la naissance de ma première fille et le changement de situation familiale nous laissait moins de temps au jardin. Ayant repoussé le moins important, nous avions laissé poussé les semences au-delà de la récolte. Et bien, nous avons dû carrément entrer les plants en décomposition dans la maison pour éviter de tout perdre nos graines dans le potager. Nous aurions été très peiné d’avoir gaspillé 2 ans de travail pour rien.

Lombriculteur, vous connaissez?

16 mercredi Fév 2011

Posted by Michel in Non classé

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Stéphane Lebel, lombriculteur (photo: Martin Viau, magazine Jobboom mai 2010, vol 11, no3)

Je tente depuis des années de convaincre ma conjointe des vertus du lombricompostage, une technique de compostage qui requiert des vers de terre au lieu de la lente décomposition des matières organiques par les micro-organismes du sol.

En effet, après 2 à 3 mois, on peut déjà récolter son compost comparativement à plus d’un an pour le compostage.  Un guide du lombicompostage rédigé par le centre d’agriculture biologique du Canada mentionne que

… les fermiers qui utilisent le lombricompost considèrent qu’il est sept fois plus riche que le compost et n’exige donc qu’un septième des quantités habituellement requises.

Mais tous ces bons arguments ne peuvent empêcher ma charmante conjointe de me montrer son dégoût à l’idée de savoir qu’il y a des vers de terre dans sa maison. BEURK. !!! me lance t-elle à la moindre évocation du sujet.

Usine à vers (worm factory)

Pourtant, Stéphane Lebel de la ferme Pousse-menu en a fait un métier. La ferme Eugénia en a même fait son principal chiffre d’affaire. Pour qu’il y ait de telles installations, il doit bien y avoir une demande quelque part. J’avoue que, jusqu’à aujourd’hui, l’équipement-maison offert par les entreprises au Québec pour récolter son fumier de vers ne m’avait pas convaincu. Pas mal de manipulation à mon goût. Pas nécessairement le temps de trier mes vers pour récolter le lombricompost. En furetant, j’ai trouvé, selon moi, l’outil idéal qui pourra sûrement mettre à bas la dernière barrière: the worm factory… pouvant être traduit comme l’usine à vers. Cet outil étagé permet le déplacement graduel des vers aux étages supérieures (vers la nourriture) laissant celui du bas sans vers et avec un compost frais.

C’est pas donné: souvent 100 et plu$. Ça fait cher le compost mais en faisant une recherche, 5 livres de compost de vers de terre vaut environ 7.00$. Comme un vers à compost mange l’équivalent de son poids en une journée et que ça en prend moins qu’un compost ordinaire, c’est le temps qui nous fera entrer dans notre argent. Qui plus est, on peut récolter le jus de compost avec le robinet situé à l’avant; un autre super fertilisant concentré. Et puis, ça se multiplie tout seul. 1 livre de vers peut se vendre entre 25$ et 40$ (sans les taxes)

Dans mes vieux jours, peut-être deviendrais-je jardinier-lombriculteur. Pour le moment, je continues mon pitch de vente.

Le jardin du Gouverneur

14 lundi Fév 2011

Posted by Michel in Agrotourisme patrimonial

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Château de Ramezay au début du siècle dernier

L’émission de télévision le « tour du jardin« , offert via le canal Historia, a visité, au coeur du Vieux-Montréal, le Château Ramezay, le plus ancien jardin d’Amérique… c’est pas rien.  Pas juste un jardin de fleurs, l’édifice de 1705 érigé par le gouverneur de l’époque Claude de Ramezay, abrite aussi un magnifique potager où vous retrouvez un endroit riche de trésors historiques horticoles.  Si vous avez manquez cette diffusion, n’hésitez pas à y faire un tour cet été, vous pourrez alors bénéficier de visites guidées au coût de $22 pour les familles, $10 pour les adultes, $8 pour les aînés, $7 étudiants, $5 entre 5 et 17 ans et gratuit pour les 4 ans et moins.

Il arrive à l’occasion que l’épisode soit diffusé en webtélé.

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